A une conférence d'Apistoria sur Bordeaux, un conférencier disait détenir des actes mentionnant que des vilains en Aquitaine (et aussi en Italie du nord) pouvaient payer certains impôts de préférence en cire. Il disait aussi qu'il y a eu des jugements rendus parce que certaines corporations d'artisans (orfévres par exemples) et les hommes d'églises se disputaient une trop faible quantité de cire.
Dans cette optique, il concluait en disant entre autre que la cire était le produit principal attendu des ruches et que le miel était un "sous-produit" utile et recherché certes mais secondaire au regard des besoins des églises et de l'artisanat.
D'ailleurs, l'exploitation par broyage du gâteau est semble t-il prédominante sur l'exploitation par simple écoulement du XIIIéme au XVéme siécle ce qui va dans le même sens apparemment.
Maintenant, j'ai quelques textes chez mes parents, j'essaierai de préciser des réf en janvier.
A+
Cire et bougie
Modérateur : L'équipe des gentils modos
Grég le furet
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Miles britto-romain an 5OO.
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