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Posté : mar. juil. 19, 2005 7:10 am
par rolland de glabbecke
Et oui, on connait bien les cottes de plates de type Wisby, et la Corrazina dont on parle dans le post sur l'arlure mi XIVe que j'ai posté...
Mais j'ai encore des questions pratiques (je sais, aujourd'hui je m'en pose des questions, hein !)
C'est bien beau ce matériel, mais comment çà s'entretient, ce métal enrobé de rivets et de tissu ? Le tissu garde l'humidité très longtemps, et en contact avec le métal ... j'ose pas imaginer ! Alors bonjour l'incruste ...
Quelqu'un à une idée ?
(en dehors de "ben c'est simple, tu sors pas quand il pleut !")
Posté : mar. juil. 19, 2005 7:20 am
par frère inquisiteur
Si c'est un vrai poli mirroir, tu devrais en théorie n'avoir rien a craindre (sauf en cas d'attaque "forte" type corrosion en milieu salin etc...)
il est aussi possible que le metal sous le tissus soit peint ou soit recouvert d'un enduit étanche.
Posté : mar. juil. 19, 2005 7:21 am
par rolland de glabbecke
Tout est possible !
Je suis preneur de toutes les explications réalistes !
Posté : mar. juil. 19, 2005 7:59 am
par le grand faucheur
une couche de cire sur la ferraille dessous..-.
Posté : mar. juil. 19, 2005 8:08 am
par De Heer van Liere
Tu connais ma réponse...

Pour la cotte de plate du garde du Saint Sépulchre ( reliquaire du monastère de Wienhausen, Allemagne ), moi, j'ai interprété plutôt l'aspect 'cuirasse' en rivetant les plates sur une cuirasse en cuir, lacée elle-même sur l'intérieur de la cotte à armer.
En délaçant, on peut:
[*]Laver la cotte
[*]Nettoyer les plates
Plus cohérent qu'un rivetage direct sur le tissu...
Maintenant... François Buttin parle régulièrement de maille et de 'rivets' couverts d'or ou d'argent, voire 'vernissés', mais le poids sur le tissu, même en soie, me fait croire peu plausible un rivetage direct...

Posté : mar. juil. 19, 2005 9:06 am
par luther80
il n y avait pas de danger que les plaque rouille car elle eté etamer bon pour maintenant je te dirais soit utilise de l inox ou alors peint tes plaques.
Posté : mar. juil. 19, 2005 9:09 am
par luther80
l etamage des plaques et la plus historique pour ce qui est des brigandine,il n y avait pas de tissus entre les plaques d aciers et le bonhomme :composition velours ou cuir ,tissus pour faire une sorte de rembourrage, aciers puis le gars
Posté : mar. juil. 19, 2005 9:15 am
par rolland de glabbecke
luther80 a dit : l etamage des plaques et la plus historique pour ce qui est des brigandine,il n y avait pas de tissus entre les plaques d aciers et le bonhomme :composition velours ou cuir ,tissus pour faire une sorte de rembourrage, aciers puis le gars
Pourtant, les pièces que j'ai croisée en musée sont bien doublées à l'intérieur comme à l'extérieur ! Pas avec le même type de tissu, mais doublée quand même !
Mais c'est vrai que je n'en ai pas croisé une vingtaine pour juger !
Posté : mar. juil. 19, 2005 10:28 am
par luther80
les seuls pieces que j ai vu n ete pas doublé de l interieur mais peux etre que tu dis vrai toi aussi c est pour cela quand ce moment j essaye de regrouper des informations sur la brigandine
Posté : mar. juil. 19, 2005 10:40 am
par camille
peut-etre y a t il une différence d'utilisation :
non doublée sur cote de maille - fer sur fer, pas grave
doublée - sur bonhomme - fer sur chair pas terrible
ou bien une différence de provenance (francais/italien)