Si la salle de bain est grande, c'est "gérable"...
La "méthode Perline" a l'avantage de montrer une méthode citadine en appartement!
Moi, c'est le même "topo" sauf que c'est au jardin...
Donc: je remplis D'ABORD mes seaux, pour éviter le jet sur la toison et les risques de feutrage.
Le "jus de mouton" est recyclé dans les plate-bande et bacs à fleurs (ce qui ne semble pas "déprimer" la végétation...)
La toison est mise à sécher A L'OMBRE, sur l'étendoir à linge, ou.... accrochée dans le figuier (qui prend des allures de mangroves...)
La laine teinte en toison: même topo: séchage à l'ombre sur étendoir.
Le "soucis", ce sont le étés pluvieux...Entre deux averses la laine n'a pas le temps de sécher, mais cela continue à la "laver".
Sauf qu'elle devient verte....
Les graines emprisonnées dans la laine commencent à germer...
Soit on dégraisse partiellement la laine.
Soit on la dégraisse totalement (idéal pour la teinture en toison) et, pour la filer, il faut la "regraisser"= l'ensimer.
Suivant la région: quelques gouttes d'huile au moment où on bat la laine, ou quelques gouttes de beurre rance FONDU (surtout pas bouillant!!!!). Dans certains coins: huile de noix.
(bref, si on est VRAIMENT obsédé reconstitution archéo: utiliser le produit du coin, gras, au MA, et courant du patelin...)
NB: au printemps, les portions de laine "pas du tout filables" font le bonheur des oiseaux...
Si jardin: les parties "pampers" du mouton viennent à point avant l'hiver pour protéger les pieds des plantes (pas trop les "coller"sur le pied, surtout les rosiers!): les intempéries se chargent de faire "fondre" les crottes: engrais et recyclage bio.