realisation d'un costume de boureau
Modérateur : L'équipe des gentils modos
Possible, mais certains extraits proviennent des chroniques de Froissart ou de Monstrelet, elles doivent être assez fiables, je pense. Je ne verrais pas trop leur intérêt de mentir sur la descrïption d'un accoutrement de civil, à moins qu'il ait des conotations politiques. Sinon à quoi se remédier ? Partant de ce principe, on peut assurer la fiabilité d'aucune source. C'est pour ça que j'ai surtout cité ceux à partir desquels il y avait des textes de l'époque, mais j'ai volontairement exclus toutes les fictions. Au sujet du bourreau appelé mitre, j'ai vu cette info dans plusieurs textes. Mais pas de date bien précise pour chacun.
Pour les bûcherons... pas sûre que ce soit la scie en cause forcément, mais sans doute un archétype plus ancien de "simple respect " de la forêt....Oriabel a dit :
La scie est considérée comme un outil mauvais...il écorche le bois, ne provoquepas de coupure nette et franche..les bûcherons sontmal considérées à cause de cela semble-t-il. C'est aussi une des raisons pour lesquelles la scie est un instrument associé à des scènes de supplice. Ici, la scie est peut-être utilisée par rapport à la nature "sauvage" du crime.
Ils devaient déguster ....![]()
Mais vrai que pour les supplices, cela ne manquait pas d'imagination...
Y a des fois où on se demande si ce serait pas une bonne idéée de les remettre au goût du jour, dans certains cas... (lol!)
Le "métier" de bourreau s'est institutionnalisé plus tard, ou plus tôt dans les grandes villes (voir gibet de Monfaucon, qui demandait une gestion suivie...)
A Thillo,
je te fais part des auteurs desdits documents. Je ne connais pas leur estime ni leur réputation.
Pour le premier (Nouvelle collection... etc) : de Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat. (1838)
Le second (les proverbes) : de Le Roux de Lincy - 1859. En fait j'en ai fait référence, à cause de l'expression "paré comme un bourreau qui est de fête"
Le troisième, par "société d'agriculture, commerce, sciences et
arts de la Marne"
Et l'autre, annales du midi par "Université de Toulouse, Alfred Jeanroy, Paul Dognon, Antoine Thomas - 1889"
je te fais part des auteurs desdits documents. Je ne connais pas leur estime ni leur réputation.
Pour le premier (Nouvelle collection... etc) : de Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat. (1838)
Le second (les proverbes) : de Le Roux de Lincy - 1859. En fait j'en ai fait référence, à cause de l'expression "paré comme un bourreau qui est de fête"
Le troisième, par "société d'agriculture, commerce, sciences et
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- cassetrogne
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Des auteurs XIX° pour la plupart donc, ce qui amènerait à se dire : "Méfiage" ! 

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