Forum des Guerriers du Moyen-Age

En cherchant 2 ou 3 petites choses, je suis tombée sur cet article, qui est ma foi très sympathique mais ne fera pas concurrence au dossier costume de notre site
http://medieval.mrugala.net/Vetement/Ve ... siecle.doc

Ils disent que les femmes portaient les chausses à même la peau, puisqu'elles ne portaient pas de braies, mais ne semblent pas faire de différence entre les chausses des hommes et des femmes, au niveau de la longueur.
De plus, ils disent dans cet article que les chausses sont attachées par des jarretières... Vous auriez des exemples?

En fait d'après ce que je sais il s'agît de chausses courtes comme des mi-bas (beurk) de nos jours. Ca s'attache avec un lacet ou avec un ruban ou avec ce qu'on peut.

Une petite photo vaut mieux qu'un long discours...


Explication de fabrication (en anglais) sur le site superbe de Marie-Chantal Cadieux, une Québecoise.
http://members.fortunecity.com/cadieuxx/myhose.html

Je crois qu'on en avais déjà parlé, mais je trouve vraiment qu'elle fait un superbe boulot de recherche et de re-création historique

tout a fait ! c'est exactement ça Michel, et pour Snorri2, oui, au M-A, une telle illustration en aurait fait rougir plus d'un !

Je connais le site, il a été un peu réactualisé d'ailleurs. POur ce qui concerne les jarretières, c'est une idée reprise à V. le D. C'est ainsi qu'il désigne le cordon maintenant la chausse au-dessus du genou comme le montre la photo du post de Michel de Waulsort.

Dans le forum, tapi sous des tonnes de post, se cache une photo montrant une scène de couple (ma pudeur naturelle ne me permet pas de pousser outre la descrïption ).
On voit des chausses féminines tombées bien bas

Je crois qu'on en avais déjà parlé, mais je trouve vraiment qu'elle fait un superbe boulot de recherche et de re-création historique

Les costumes sont superbes. Pour moi qui cherchait des photos de différents costumes féminins, je suis servi!

Voilà l'illustration mentionnée plus haut :

Autre document trouvé :

http://medieval.mrugala.net/Vetement/Re ... stumes.htm

les chausses pouvaient etre doublée s comme celles des hommes, cela devait etre plu agreable!!!

Celles des hommes étaient doublées avec quoi ? En tout cas, les chausses faites en laine bouillie sont d'un contact agréable, je ne vois pas trop l'intérêt, si ce n'est purement esthétique, de les doubler ?

je sai pa g jamai essayé la laine bouillie!! on voit des doublures blanche sur certaines enluminures. Coton, lin, soie? t'as le choix encore une fois selon les ressources!

il y a aussi le faite qu'au M-A le faite de doubler un vêtement était un moyen de montrer...qu'on en avait les moyens !

En claire, seuls les riches faisaient doubler leurs vêtements, les artistes de l'époques nous montres souvent le revers des vêtements des personnages représentés uniquement dans le but de signalé une confortable position sociale.

donc doublure ne veut pas forcement dire logique de confort

Wé c vrai !
Mais ça me fait penser, maintenant que je les ai déjà faite mes chausses, vaut mieux pas que je les fasse bouillir sinon elles vont se déformées, non ?
Paske là pour le moment, la laine seule au bout de cinq minutes ... ça grraaattte !!

J'ai une enluminure, vu quelque part... ou l'on voit un "bourgeois" aux bains en train de retirer ses chausses, avec l'aide d'un collègue... ce qui en dit long sur l'étroitesse du vêtement, où l'on les chausses à l'envers. Les pieds sont colorés, on suppose donc que c'est la laine, et au niveau des chevilles, une ligne en zigzag, puis de la (toile ?) blanche. On interprête ça comme une doublure de chausses, sans le pied pour plus de souplesse. J'vais vous retrouver ça, mais je crois que c'est dans un bouquin.

Guenièvre a dit : vaut mieux pas que je les fasse bouillir sinon elles vont se déformées, non ?

Le problème est souvent que le rétrécissement n'est pas le même dans le sens de la trame que dans celui de la chaine...
( Pourquoi, je ne l'ai jamais compris... Avec de la laine dont les fils sont semblables dans les deux sens... )

Non, le mieux est évidement de faire 'bouillir' le tissu en lés, avant de le couper dans le biais.