Merci de vos avis.
voilà une petite photo :
PS : c'est sur Ebay allemagne (tout ou presque est en achat immédiat donc pas d'enchères)..., ça me semble pas trop cher.
Modérateur : L'équipe des gentils modos
Ca tourne autour de 10 euros le metre selon les coupons (+ le port)...Gaëtan le gaucher a dit : Pas cher mais...qu'elle prix?
C'est pas ça par hasard ?Berbove a dit : j'ai perdus le lien qui donnent les couleurs possibles pour la période, si quelqu'un le connait... (je sais que sur la page il y a des échevaux de laine teintées dans les couleurs "de l'époque").
Certains traitements sont un peuQu’est ce que le Walk exactement? D’où vient-il ? Comment est-il fabriqué? Qu'est-ce qui lui confère une telle singularité? Avant de répondre à ces questions, laissez-nous vous raconter son histoire:
Walk – l‘historique
Dès le paléolithique, l’homme se vêtit de la peau des bêtes et file dès le néolithique les poils d'animaux. Dans ce contexte, la laine de mouton a joué très tôt un rôle de premier plan. On s'en procurait sans danger et en grandes quantités et elle était relativement facile à travailler. Au cours des siècles, depuis la simple quenouille pour filer à la main jusqu'aux métiers et machines à filer de l'époque moderne, en passant par les rouets manuels puis à pédale du Moyen Age et de la Renaissance, le perfectionnement de l'art de filer a rendu de plus en plus facile la transformation de la toison du mouton en fil de laine.
Par la suite, l'Ancienne Egypte a transmis des «recettes de Walk». Les étoffes de laine étaient foulées avec les pieds dans des auges ou des fosses remplies d’eau mélangée à de l’urine ou du sodium. Il existe d’ailleurs un hiéroglyphe montrant un homme les pieds dans l'eau. Un peu plus tard, les peuples du Nord prennent le relais en matière de transformation de la laine. Ils la foulaient avec les pieds ou des mortiers dans des barriques remplies d’eau chaude mélangée à de l’urine, des excréments de mouton, de la tourbe, et de la poudre de pierres volcaniques. A partir du XIIe siècle, le foulage est réalisé par des moulins à eau ou des moulins à fouler.
L'étoffe était battue dans une cuve, pendant une durée pouvant aller jusqu'à 18 heures, au moyen de planches se chevauchant comme des tuiles ou bien de grands marteaux de bois mus par la roue hydraulique. On obtenait ainsi une étoffe rétrécie de jusqu'à 50 pour cent en longueur et en largeur.
Selon une légende tyrolienne, le Walk que nous connaissons dans la tradition du costume régional aurait été «inventé» par les paysans de la montagne. Il est vraisemblable qu'ils ont découvert par hasard que les pièces de vêtement en laine feutrée par le lavage offraient une meilleure protection contre le mauvais temps qu'auparavant.
Ils ont alors utilisé la technique du foulage pour rendre des vêtements tricotés plus résistants aux intempéries et plus solides. Car le processus de foulage renforce les atouts que la laine de mouton possède déjà naturellement.
Et c'est là qu'il convient de répondre à la question qui nous est souvent posée sur la différence entre le loden et le Walk. Ces deux étoffes sont la plupart du temps en pure laine de mouton foulée, c'est-à-dire artificiellement feutrée, sous l'effet de la chaleur et de l'eau. Pour obtenir le Walk, on traite de la laine tricotée, pour un loden, de la laine tissée.
C'est bien ça le problème, le tissage!Garin Trousseboeuf a dit : J'ajoute que outre le couleur, le tissage est important dans le rendu final.