
Sans parler du ou des faits réels, à moins de mutation grave depuis, des soucis de poitrines abondantes associées à des soucis de dos, et autres bricoles bien médicales peut-être un rien glauques mais avérées.
(on y va?)
les civilisations vivant au soleil et dont la culture fait que les accessoires vestimentaires sont minimes, les dames ont la poitrine nue (même plus très ferme, à pas ferme du tout), mais cette poitrine est "à l'air" et les diverses activités de la vie quotidienne, les changements de positions font que la poitrine "ballotte" mais est tôt ou tard aérée en dessous.
(yep: image pas très sexy).
Dans des climats plus frais (à froid) et/ou des civilisations ou la dame est emballée par ses vêtements, dont des modèles de vêtements plus ajustés, les seins ne peuvent "vaguer" avec autant de liberté que "à l'air". En cas de poitrine flasque à très flasque, veuillez excuser ces détails sordides, cela pend et macère gentiment. Macération = risque de dermites, dermatites, champignons, (+ petites odeurs) etc...
Et là, quand on sait ce genre de détail ( des fois cela sert d'avoir turbiné en hospitalier), on se pose la question de savoir si autrefois, les dames d'un certain âge (ou trop fournies) cultivaient leur champignons sous nichons ou avaient trouvé une soluce ET de confort ET "sanitaire".

(actu: ce sont des petites dames âgées, bouffées par l'arthrose ou l'arthrite qui, n'arrivant plus à fermer un soutien-gorge dans le dos, "préfèrent" s'en passer....avec les soucis qui vont avec...)