Dans un coin de Hainaut, il reste une "touraille"... soit un "four à sécher" les plantes médicinales, qui fût encore en activité jusque peu après guerre.
Il semble que ce genre de "four à sécher" (aussi appelé herbularium) a existé au sein des abbayes, entre autres pour l'orge.
Niveau "centre France", j'ai vu la mention "secadou"... (un truc qui sèche?) dont j'ignore l'usage....
Si quelqu'un a des informations à ce sujet, je suis preneuse!
Merci!
Recherche: "four" ou "séchoir" à plantes
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- cassetrogne
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herbularium semble se rapporter à tout ce qui touche aux "herbes" d'une manière générale et désigne le plus souvent aujourd'hui l'endroit où on les fait pousser ou là où on les conserve.
Le secadou est un séchoir à chataignes mais qui utilise la fumée. Il convient donc aussi pour du poisson ou des salaisons mais probablement pas pour des herbes ?
Comment fait le moine Cadvaël ?
Le secadou est un séchoir à chataignes mais qui utilise la fumée. Il convient donc aussi pour du poisson ou des salaisons mais probablement pas pour des herbes ?
Comment fait le moine Cadvaël ?
Cassetrogne, Ménestrier aux Coquillards de Villon
http://www.coquillards-de-villon.com
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Si sibi pilosus est, legitimus !
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Système de séchage simple, valable pour pas mal de plantes aromatiques, médicinales, voire condimentaires : faire un bouquet (ou une guirlande) et accrocher tête en bas dans un endroit sec, à l'abris de la lumière et plutôt frais.
Les poutres de toiture peuvent faire l'affaire, les celliers aussi. Donc là, pas de séchoir ni de matériel dédié.
Séchoir dédié ? mmmhh, je ne vois pas trop, hors le séchoir à maïs mais qui n'est pas méd, évidemment.
Secadou, jamais entendu.
Les poutres de toiture peuvent faire l'affaire, les celliers aussi. Donc là, pas de séchoir ni de matériel dédié.
Séchoir dédié ? mmmhh, je ne vois pas trop, hors le séchoir à maïs mais qui n'est pas méd, évidemment.
Secadou, jamais entendu.
Joieuse Aguille
là, le truc est une sorte de "four"...
Le séchage tête en bas, cela marche en été... (et faut pas habiter le nord...)
Cela marche pas non plus pour certaines plantes dont le côté "charnu" fait que si il n'y a pas un peu "d'aide" (un séchoir..), l'extérieur sèche, mais pas dedans (et m***), donc pas glop!
On sait que la "touraille" en question alimentait les apothicaires (et pharmacies, plus tard) du coin + 2 hôpitaux de la région => un "séchoir" permet de traiter plus vite et avec moins d'encombrement qu'un local ventilé.
Le séchage tête en bas, cela marche en été... (et faut pas habiter le nord...)
Cela marche pas non plus pour certaines plantes dont le côté "charnu" fait que si il n'y a pas un peu "d'aide" (un séchoir..), l'extérieur sèche, mais pas dedans (et m***), donc pas glop!
On sait que la "touraille" en question alimentait les apothicaires (et pharmacies, plus tard) du coin + 2 hôpitaux de la région => un "séchoir" permet de traiter plus vite et avec moins d'encombrement qu'un local ventilé.
Y'a un village XVéme reconstitué en Angleterre où les plantes sont suspendues sur les poutres au dessus du foyer, comme à Melrand du reste. Par contre, je ne connais pas de four spécifique. Désolé ! Après faut voir les séchoir à houblon à mon sens, je sais que le houblonnage est médiéval mais mes plus vieilles références datent du XVII-XVIIIéme en Angleterre.
A+
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Grég le furet
56
Miles britto-romain an 5OO.
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le houblonnage, en Belgique, est plus ancien, du moins dans les monastères.
(faut savoir que le houblon, plante médicinale au départ, a entre autres comme effet de "calmer" les messieurs... . la racine de benoîte, aussi qui entre dans la composition de pas mal de liqueurs monastiques!)
(faut savoir que le houblon, plante médicinale au départ, a entre autres comme effet de "calmer" les messieurs... . la racine de benoîte, aussi qui entre dans la composition de pas mal de liqueurs monastiques!)