Combat des Trentes...
Modérateur : L'équipe des gentils modos
J'ai lu un jour, y'a longtemps, qu'il y avait eu un affrontement entre 30 chevaliers (15 dans chaque camp), mais je ne sais plus :
- où ?
- quand ?
- si c'est vrai...
Quelqu'un a des infos ou une référence bibliographique ?
Merci...
- où ?
- quand ?
- si c'est vrai...
Quelqu'un a des infos ou une référence bibliographique ?
Merci...
- Eudes de Nogent
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- Enregistré le : jeu. janv. 01, 1970 1:00 am
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Si tu veux en savoir un peu plus, tu peux aller faire un tour là :
http://www.renaissance-amboise.com/doss ... trente.htm
Bonne lecture !
http://www.renaissance-amboise.com/doss ... trente.htm
Bonne lecture !
- Eudes de Nogent
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- Eudes de Nogent
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Ou encore là !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Combat_des_Trente
Je n'ai pas eu le temps de bien creuser mais l'encyclopédie en ligne Wikipédia semble assez géniale !
Bonnes recherches !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Combat_des_Trente
Je n'ai pas eu le temps de bien creuser mais l'encyclopédie en ligne Wikipédia semble assez géniale !
Bonnes recherches !
le combat des trentes voyait s'affronter 30 chevaliers brito francsais et 30 brito anglais (parti des penthievre et des montfort), pres de josselin je crois. Tout cela prend place pendant la guerre civile bretonne, au debut de la guerre de cent, les anglais et les franxcais se servait du territoire breton un peu a la maniere des americains et des russes pendant la guerre du vietnam
- garin trousseboeuf
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La oule, c'est cool... la fonte, c'est la honte... le verre c'est la misère.
- coldtracker
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- Enregistré le : dim. mars 07, 2004 12:00 am
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Le 26 mars 1351 entre Ploërmel et Josselin ....
le combat des Trente par Octave Penguilly Musée de Quimper
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Le fameux "combat des Trente" au chêne de Mi-voie entre Josselin et Ploërmel, où trente chevaliers bretons sous le commandement de Jean Beaumanoir l'emportèrent sur trente combattants anglais, allemands et quatre bretons, eut un grand retentissement.
LES CAUSES DU COMBAT
En 1317, le duc Jean III réunit au profit de son frère aîné, Guy, les comtés de Tréguier et Penthièvre. Le 30 avril 1341, Jean III mourut sans héritiers directs. Son demi-frère, Jean de Montfort marié à Jeanne de Flandre, et sa nièce Jeanne de Penthièvre, épouse du neveu de Philippe VI de France, Charles de Blois, revendiquent chacun pour son compte le trône ducal.
Le parti de Blois est soutenu par la France, les grands seigneurs bretons, le haut-clergé, le pays Gallo et les principales villes du Trégor. Le parti de Montfort est soutenu par l’Angleterre, la petite noblesse, les recteurs et leurs paroissiens du pays bretonnant.
Une trêve avait été signée. Mais au mépris de cette convention les anglais, sous prétexte de soutenir la cause des Montfort rançonnaient et pillaient la Bretagne. Les paroisses qui ne pouvaient payer étaient détruites, incendiées et saccagées.
En 1351, un baron de la Bretagne, nommé Jean de Beaumanoir, capitaine du château de Josselin, eut l’occasion de reprocher aux Anglais leur conduite odieuse et de s’écrier en s’adressant à Brembo, gouverneur de Ploërmel, place forte anglaise « Dieu soit Juge entre nous ! Que chacun de nous choisisse trente à quarante champions pour soutenir sa cause. On verra de quel côté est le droit ». La rencontre eut lieu au « chêne de Mi-voie », entre Ploërmel et Josselin le 26 (ou le 27 ) mars 1351. Les conditions de la lutte furent celles du « combat à volonté », c’est-à-dire que chacun des soixante champions eut toute liberté de se battre comme il lui plairait, soit à pied, soit à cheval, avec les armes qu’il voudrait, sans autre obligation que d’observer dans ce combat les règles de la loyauté chevaleresque.
« Ainsi fut la bataille juré par tel point,
Et que sans nulle fraude loyaulment le feroint,
Et d’un costé et d’aultre touts à cheval seroint,
Ou trois, ou cinq, ou six, ou toutz, se ilz vouloint,
Sans élection d’armes ainscin se combatroint,
En guise et manière que chascun le vouldroint ».
Les anglais sûrs de leur victoire arrivent les premiers au « chêne de Mi-voie ». Le retard des bretons venaient du fait qu’ils s’étaient préparés à la bataille, s’étaient confessés, et avaient reçu l’absolution, la communion, et entendus plusieurs messes.
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LES DIVERSES PHASES DU COMBAT
Première phase
Après avoir parlementé quelque temps, les deux troupes reculèrent chacune de leur côté en se faisant face. Sur un signe, le premier choc entre les deux partis eu lieu. Se fut un corps à corps désordonné (une mêlée dans toute la force du terme). Dans cette mêlée, côté bretons, Jehan Rousselet, et un écuyer Geffroy Mellon furent tués. Even Charruel, Caro de Bodégat, tous deux chevaliers, ainsi qu’un écuyer, Tristan de Pestivien, furent blessés et faits prisonniers. D’ou une notable infériorité des bretons réduits à 25 champions contre trente anglais.
Deuxième phase
Suite à une courte trêve, les deux partis sont de nouveau face à face. Indigné par les insultes de Brembo envers Beaumanoir, l’écuyer Alain de Keranrais, lui crie:
« Comment, vil glouton, tu te flattes de faire prisonnier un homme comme Beaumanoir ! Eh bien, moi je te défie en son nom, tu vas sentir à l’instant la pointe de ma lance ».
Il lui en porte en même temps un coup en plein visage, la lance pénètre sous le crâne. Brembo s’abat lourdement. Pendant que les anglais se jettent sur Keranrais, le chef anglais d’un effort désespéré se relève et cherche son adversaire ; il trouve devant lui Geffroy du Boys, qui lui lance à son tour sa hache d’armes dans la poitrine.
Brembo tombe mort.
Cette mort imprévue jette une telle consternation dans les deux partis que la bataille s’interrompt quelques instants.
Troisième phase
Crokart, de nationalité allemande, prendra le commandement des anglais. Il change la technique de combat « Tenez-vous estroitement serrés l’un contre l’autre » pour combattre. Par suite de cette manoeuvre, le combat change de face. Jusqu’ici c’était une mêlée, une lutte par petits groupes, sans ordre ni plan. Désormais, c’est un combat régulier. Les 29 champions anglais, forment alors, une ligne de bataille impénétrable, contre laquelle les bretons se brisent en laissant de nombreux blessés. Beaumanoir décide alors d’attaquer en même temps de face et sur les deux extrémités. Dans cet assaut féroce, la bande de Crokart finit par céder ; quatre de ses champions (2 anglais, 1 allemand et le breton d’Ardaine) sont tués. Côté breton, Geffroy Poulart et Beaumanoir sont blessés. C’est alors que Geffroy du Boys lance à Beaumanoir assoiffé et affaibli par la perte de son sang, la fameuse apostrophe « Bois ton sang Beaumanoir, la soif te passera ».
Quatrième phase
Crokart voyant le défaut de sa première manœuvre, change de tactique. Il ordonne aux deux extrémités de sa ligne de bataille de se réunir en se recourbant l’une vers l’autre en faisant toujours face à l’ennemi. Guillaume de Montauban qui feint de quitter le combat saute alors sur le dos de son cheval, et le précipite sur le terrible rempart des piques anglaises, pendant que lui-même frappe sur les anglais à grands coups de lance. Manœuvre des plus téméraires, qui permit de renverser sept ennemis, puis revenant sur ses pas d’en écraser trois autres. Voyant cela, tous les bretons se précipitent dans la trouée pour se jeter sur leurs adversaires. Sous ce choc, quatre ou cinq des anglais sont tués, les autres sont faits prisonniers.
Telle fut la bataille des Trente
Les bretons dans cette journée ne perdirent, semble-t-il, que trois des leurs : le chevalier Jehan Rousselet, les écuyers Geffroy Mellon (ou Moëlon) et Geffroy Poulart. Du côté des Anglais, il y aurait eu, une douzaine de morts.
--------------------------------------------------------------------------------
LES COMBATTANTS
Les trente bretons supportant le parti de Blois Les trente anglais supportant le parti de Montfort
Le capitaine Breton est Jehan de Beaumanoir
Les chevaliers :
Jehan de Tyntyniac
Guy de Rochefort
Even Charruel
Robin Raguenel de Saint-Yon
Caro de Bodégat
Guillaume de la Marche
Ollivier Arrel (Harel)
Jehan Rousselet
Geffroy du Boys (du Bois)
Les écuyers :
Guillaume de Montauban
Alain de Tyntyniac
Tristan de Pestivien
Alain de Keranrais
Ollivier de Keranrais
Louys Gouyon
Le Fontenai ou Le Fontenois
Huet Captus (lisez Catus)
Geffroy de la Roche
Geffroy Poulart
Morice de Trezeguidy
Guyon du Pontblanc
Morice du Parc
Geffroy de Beaucours
Celuy de la Villon (lisez La Villéon)
Geffroy Mellon ou Moelon
Jehannot de Serrant (lisez Sérent)
Olivier Bouteville (Monteville ?)
Guillaume de la Lande
Symonet Richard
Les champions étaient tous des bretons.
Le capitaine Anglais est Robert Brambroch (ou Richard de Brandenburg, encore appelé Brembo)
Les combattants :
Canoles (lisez Robert Knolles)
Cavarlay (lisez Hugue de Calverly)
Crucart (lisez Crokart ou Croquart)
Jehan Plesanton
Ridele le Gaillart
Helecoq, son frère
Jennequin Taillart
Rippefort le Vaillant
Richart d’Irlande
Tommelin Belifort
Huceton Clemenbean
Jennequin Betoncamp
Renequin Herouart
Gaultier l’Alemant
Hulbure ou Huebnie le Vilart
Renequin Mareschal
Thommelin Hualton
Robinet Melipart
Isanay le Hardy
Bicquillay
Helichon le Musart
Troussel
Robin Adès
Dango le Couart
Le Nepveu de Dagorne (Dagworth?)
Perrot de Commelain (lisez de Comenan)
Guillemin le Gaillart
Raoulet d’Aspremont
D’Ardaine
Côté anglais, s’étaient joints six aventuriers allemands et quatre bretons du parti de Montfort.
le combat des Trente par Octave Penguilly Musée de Quimper
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Le fameux "combat des Trente" au chêne de Mi-voie entre Josselin et Ploërmel, où trente chevaliers bretons sous le commandement de Jean Beaumanoir l'emportèrent sur trente combattants anglais, allemands et quatre bretons, eut un grand retentissement.
LES CAUSES DU COMBAT
En 1317, le duc Jean III réunit au profit de son frère aîné, Guy, les comtés de Tréguier et Penthièvre. Le 30 avril 1341, Jean III mourut sans héritiers directs. Son demi-frère, Jean de Montfort marié à Jeanne de Flandre, et sa nièce Jeanne de Penthièvre, épouse du neveu de Philippe VI de France, Charles de Blois, revendiquent chacun pour son compte le trône ducal.
Le parti de Blois est soutenu par la France, les grands seigneurs bretons, le haut-clergé, le pays Gallo et les principales villes du Trégor. Le parti de Montfort est soutenu par l’Angleterre, la petite noblesse, les recteurs et leurs paroissiens du pays bretonnant.
Une trêve avait été signée. Mais au mépris de cette convention les anglais, sous prétexte de soutenir la cause des Montfort rançonnaient et pillaient la Bretagne. Les paroisses qui ne pouvaient payer étaient détruites, incendiées et saccagées.
En 1351, un baron de la Bretagne, nommé Jean de Beaumanoir, capitaine du château de Josselin, eut l’occasion de reprocher aux Anglais leur conduite odieuse et de s’écrier en s’adressant à Brembo, gouverneur de Ploërmel, place forte anglaise « Dieu soit Juge entre nous ! Que chacun de nous choisisse trente à quarante champions pour soutenir sa cause. On verra de quel côté est le droit ». La rencontre eut lieu au « chêne de Mi-voie », entre Ploërmel et Josselin le 26 (ou le 27 ) mars 1351. Les conditions de la lutte furent celles du « combat à volonté », c’est-à-dire que chacun des soixante champions eut toute liberté de se battre comme il lui plairait, soit à pied, soit à cheval, avec les armes qu’il voudrait, sans autre obligation que d’observer dans ce combat les règles de la loyauté chevaleresque.
« Ainsi fut la bataille juré par tel point,
Et que sans nulle fraude loyaulment le feroint,
Et d’un costé et d’aultre touts à cheval seroint,
Ou trois, ou cinq, ou six, ou toutz, se ilz vouloint,
Sans élection d’armes ainscin se combatroint,
En guise et manière que chascun le vouldroint ».
Les anglais sûrs de leur victoire arrivent les premiers au « chêne de Mi-voie ». Le retard des bretons venaient du fait qu’ils s’étaient préparés à la bataille, s’étaient confessés, et avaient reçu l’absolution, la communion, et entendus plusieurs messes.
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LES DIVERSES PHASES DU COMBAT
Première phase
Après avoir parlementé quelque temps, les deux troupes reculèrent chacune de leur côté en se faisant face. Sur un signe, le premier choc entre les deux partis eu lieu. Se fut un corps à corps désordonné (une mêlée dans toute la force du terme). Dans cette mêlée, côté bretons, Jehan Rousselet, et un écuyer Geffroy Mellon furent tués. Even Charruel, Caro de Bodégat, tous deux chevaliers, ainsi qu’un écuyer, Tristan de Pestivien, furent blessés et faits prisonniers. D’ou une notable infériorité des bretons réduits à 25 champions contre trente anglais.
Deuxième phase
Suite à une courte trêve, les deux partis sont de nouveau face à face. Indigné par les insultes de Brembo envers Beaumanoir, l’écuyer Alain de Keranrais, lui crie:
« Comment, vil glouton, tu te flattes de faire prisonnier un homme comme Beaumanoir ! Eh bien, moi je te défie en son nom, tu vas sentir à l’instant la pointe de ma lance ».
Il lui en porte en même temps un coup en plein visage, la lance pénètre sous le crâne. Brembo s’abat lourdement. Pendant que les anglais se jettent sur Keranrais, le chef anglais d’un effort désespéré se relève et cherche son adversaire ; il trouve devant lui Geffroy du Boys, qui lui lance à son tour sa hache d’armes dans la poitrine.
Brembo tombe mort.
Cette mort imprévue jette une telle consternation dans les deux partis que la bataille s’interrompt quelques instants.
Troisième phase
Crokart, de nationalité allemande, prendra le commandement des anglais. Il change la technique de combat « Tenez-vous estroitement serrés l’un contre l’autre » pour combattre. Par suite de cette manoeuvre, le combat change de face. Jusqu’ici c’était une mêlée, une lutte par petits groupes, sans ordre ni plan. Désormais, c’est un combat régulier. Les 29 champions anglais, forment alors, une ligne de bataille impénétrable, contre laquelle les bretons se brisent en laissant de nombreux blessés. Beaumanoir décide alors d’attaquer en même temps de face et sur les deux extrémités. Dans cet assaut féroce, la bande de Crokart finit par céder ; quatre de ses champions (2 anglais, 1 allemand et le breton d’Ardaine) sont tués. Côté breton, Geffroy Poulart et Beaumanoir sont blessés. C’est alors que Geffroy du Boys lance à Beaumanoir assoiffé et affaibli par la perte de son sang, la fameuse apostrophe « Bois ton sang Beaumanoir, la soif te passera ».
Quatrième phase
Crokart voyant le défaut de sa première manœuvre, change de tactique. Il ordonne aux deux extrémités de sa ligne de bataille de se réunir en se recourbant l’une vers l’autre en faisant toujours face à l’ennemi. Guillaume de Montauban qui feint de quitter le combat saute alors sur le dos de son cheval, et le précipite sur le terrible rempart des piques anglaises, pendant que lui-même frappe sur les anglais à grands coups de lance. Manœuvre des plus téméraires, qui permit de renverser sept ennemis, puis revenant sur ses pas d’en écraser trois autres. Voyant cela, tous les bretons se précipitent dans la trouée pour se jeter sur leurs adversaires. Sous ce choc, quatre ou cinq des anglais sont tués, les autres sont faits prisonniers.
Telle fut la bataille des Trente
Les bretons dans cette journée ne perdirent, semble-t-il, que trois des leurs : le chevalier Jehan Rousselet, les écuyers Geffroy Mellon (ou Moëlon) et Geffroy Poulart. Du côté des Anglais, il y aurait eu, une douzaine de morts.
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LES COMBATTANTS
Les trente bretons supportant le parti de Blois Les trente anglais supportant le parti de Montfort
Le capitaine Breton est Jehan de Beaumanoir
Les chevaliers :
Jehan de Tyntyniac
Guy de Rochefort
Even Charruel
Robin Raguenel de Saint-Yon
Caro de Bodégat
Guillaume de la Marche
Ollivier Arrel (Harel)
Jehan Rousselet
Geffroy du Boys (du Bois)
Les écuyers :
Guillaume de Montauban
Alain de Tyntyniac
Tristan de Pestivien
Alain de Keranrais
Ollivier de Keranrais
Louys Gouyon
Le Fontenai ou Le Fontenois
Huet Captus (lisez Catus)
Geffroy de la Roche
Geffroy Poulart
Morice de Trezeguidy
Guyon du Pontblanc
Morice du Parc
Geffroy de Beaucours
Celuy de la Villon (lisez La Villéon)
Geffroy Mellon ou Moelon
Jehannot de Serrant (lisez Sérent)
Olivier Bouteville (Monteville ?)
Guillaume de la Lande
Symonet Richard
Les champions étaient tous des bretons.
Le capitaine Anglais est Robert Brambroch (ou Richard de Brandenburg, encore appelé Brembo)
Les combattants :
Canoles (lisez Robert Knolles)
Cavarlay (lisez Hugue de Calverly)
Crucart (lisez Crokart ou Croquart)
Jehan Plesanton
Ridele le Gaillart
Helecoq, son frère
Jennequin Taillart
Rippefort le Vaillant
Richart d’Irlande
Tommelin Belifort
Huceton Clemenbean
Jennequin Betoncamp
Renequin Herouart
Gaultier l’Alemant
Hulbure ou Huebnie le Vilart
Renequin Mareschal
Thommelin Hualton
Robinet Melipart
Isanay le Hardy
Bicquillay
Helichon le Musart
Troussel
Robin Adès
Dango le Couart
Le Nepveu de Dagorne (Dagworth?)
Perrot de Commelain (lisez de Comenan)
Guillemin le Gaillart
Raoulet d’Aspremont
D’Ardaine
Côté anglais, s’étaient joints six aventuriers allemands et quatre bretons du parti de Montfort.
<img src="http://img704.imageshack.us/img704/8167 ... 600ani.gif" alt="http://img704.imageshack.us/img704/8167 ... 600ani.gif" style="border:0" />
<img src="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" alt="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" style="border:0" />
"Atav'n em sav!" ha "Evit ma zud!
<img src="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" alt="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" style="border:0" />
"Atav'n em sav!" ha "Evit ma zud!
- garin trousseboeuf
- Messages : 1375
- Enregistré le : dim. août 22, 2004 11:00 pm
- Localisation : Saint Renan
Ahhh, je me demandais quand tu allais nous ressortir ça !
La oule, c'est cool... la fonte, c'est la honte... le verre c'est la misère.
- coldtracker
- Messages : 3553
- Enregistré le : dim. mars 07, 2004 12:00 am
- Localisation : melun
c'est plus fort que moi...
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"Atav'n em sav!" ha "Evit ma zud!
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"Atav'n em sav!" ha "Evit ma zud!
-
- Messages : 18
- Enregistré le : ven. janv. 20, 2006 12:00 am
Bonjour,
Tout nouveau je me lance ici !
Je fait parti d’une petite troupe qui organise des ‘’reconstitutions’’ de cette bataille, et je n’arrive pas a trouvé le blason de : Richard d’Irlande ; Richard de la Lande ; Richard Lalande…. Quelques soit son nom qui varie d’une recherche a l’autre.
Si quelqu’un par un heureux hasard aurait vent de son blason… je serais fortement intéressé !
Merci !
Tout nouveau je me lance ici !
Je fait parti d’une petite troupe qui organise des ‘’reconstitutions’’ de cette bataille, et je n’arrive pas a trouvé le blason de : Richard d’Irlande ; Richard de la Lande ; Richard Lalande…. Quelques soit son nom qui varie d’une recherche a l’autre.
Si quelqu’un par un heureux hasard aurait vent de son blason… je serais fortement intéressé !
Merci !
Il faut plus de courage pour refuser un duel, que pour en accepter dix
Bonjour. Je ne les trouve pas non plus. Peut être ce Richard d' Irlande ou de la Lande est-il parent de Guillaume de la Lande? Je sais qu'ils étaient dans les camps opposés mais cela ne rend pas la chose impossible: nous sommes dans le cadre d' une guerre civile britto-bretonne.
Je suis le premier à penser que cette "hypothèse" (ce n' en est pas vraiment une même si le principe n' est pas impossible) ne repose sur rien de concret.
Toutefois, "au cas où", ce Guillaume est donné portant deux armoiries. Peut être faut il en attribuer une à Richard,
1) De gueules à trois écussons d' argent (on le voit au fond sur la couverture du bouqin montré dans un post plus haut dans ce sujet)
2) D' azur à trois écussons d' argent
Encore une fois, je ne pense personnellement pas que ce soit le cas (le passage de gueules à azur ou vice versa me paraît bien rare pour une brisure). Je ne te livre cette supposition que pour te fournir une piste certainement fausse mais envisageable. Note que les armes données pour Guillaume ne reposent pas sur une source mais seulement sur une référence: HISTOIRE MEDIEVALE N°20, août 2001, pages 30-39
Je suis le premier à penser que cette "hypothèse" (ce n' en est pas vraiment une même si le principe n' est pas impossible) ne repose sur rien de concret.
Toutefois, "au cas où", ce Guillaume est donné portant deux armoiries. Peut être faut il en attribuer une à Richard,
1) De gueules à trois écussons d' argent (on le voit au fond sur la couverture du bouqin montré dans un post plus haut dans ce sujet)
2) D' azur à trois écussons d' argent
Encore une fois, je ne pense personnellement pas que ce soit le cas (le passage de gueules à azur ou vice versa me paraît bien rare pour une brisure). Je ne te livre cette supposition que pour te fournir une piste certainement fausse mais envisageable. Note que les armes données pour Guillaume ne reposent pas sur une source mais seulement sur une référence: HISTOIRE MEDIEVALE N°20, août 2001, pages 30-39