J’ai pu lire ici ou ailleurs divers opinions ;
Voici maintenant ma vision des choses :
_ En ce qui concerne si les AMHEs doivent oui ou non incorporer l’escrime artistique : mon opinion est non ! Et je ne vois d’ailleurs pas pourquoi ils veulent et insiste pour se raccrocher aux AMHEs ? Si ils ont besoin d’une fédération eux aussi, qu’ils la fassent plutôt que de vouloir s’accrocher aux autres et finalement les gêner ! Et si des personnes veulent faire les deux activités, personne les empêche de les faire et d’être inscrit au deux. Si une asso veut travailler les deux, ça doit être possible de crée une passerelle permettant cela entre deux fédération « amies » (pour éviter le cumule des fraie d’inscrïption)…et si c’est pas possible ; ben tant pis !
_En ce qui concerne la reconstitution historique et les entraînements en costume : pour las reconstitution, mon avis est similaire à celui de l’escrime artistique. Pour les entraînement en costume : là, je crois que c’est à chaque assos de voir comment ils font, et non à la fédération de se mêler de cette affère.
_Pour se qui concerne l’organisation intérieur : déjà, pour moi, le rôle de la fédé devra est de faciliter l’accès aux sals d’entraînement dans les municipalité en faisant reconnaître les AMHEs, et permettre d’accéder à une assurance moins coûteuse. Et ne doit demander aux assos voulant en faire partie seulement un enseignement suffisamment sécuritaire (les assos juger dangereuse ou faisant trop régulièrement marcher l’assurance pour cause de blessure ne serons pas accepter / seront renvoyer) , et de travailler uniquement les AMHEs de façon martial et sincères (dans le sens « j’invente pas mon arts martial personnel en le faisant passé pour historique »)
A ce propos, voici 3 définitions personnel (si elles peuvent être utiles) :
-les armes « non orphelines » : ce sont les armes qui sont directement étudier dans les manuels anciens. La seule difficulté qu’elles donnent est la compréhension du manuel lui-même. Donc ici, pas d’initiative inventive, on a suffisamment de documents.
- les armes « semi-orphelines » : Ce sont celles qui sont « proches » des armes « non orphelines » mais qui ne sont pas directement étudiées par les anciens manuels (exemple : l’épée avec le grand bouclier viking qui est « proche » de l’épée et de la targe). (Je par du principe que les manuels du XIII, XIV, XV siècle…ne sont pas nés comme ça d’un seul coup, mais qu’ils découlent de traditions et techniques plus anciennes- avec sûrement quelques rajout au cour des siècles, bien sur- ). Donc on peut les étudier grâce au manuel en y apportant les modifications nécessaire et les compléter bien sur par l’apports de d’autre documents (iconographique et écris). Leur difficulté consiste en l’adaptation des enseignements des manuels anciens (qu’il faut déjà avoir bien compris) tout en restant dans une logique de combat efficace.
- les armes « orphelines » : Ce sont les armes qui ne sont pas étudiées dans les manuels anciens, et qui ne sont pas assez « proches » de celles qui y sont (exemple : la lance avec un bouclier, ou le combat en groupe). Pour les étudier, on s’appuie donc sur les textes anciens, diverses iconographies, nos propres expériences, et sur l’étude d’autres personnes quand elles en font part ; tel le livre « Gladiateurs, des sources à l’expérimentation » de Eric Tessier et Brice Lopez. On doit pour les étudier toujours rester dans l’optique de l’efficacité et non de l’esthétique bien sur, et essayer d’argumenter le pourquoi on fait tel geste.
Mais la fédé ne doit pas se mêler à mon n’avis de la façon d’enseigné (outre bien sur les deux poins dont je viens de parlé – sécurité, et uniquement AMHE- . Chaque école instruit comme elle veut tant qu’elle garde ce cadre. On peut, bien sur, à travers des forums donner des conseilles ou juste dire sa méthode_ mais sans critiqué celle du voisin_ si cela vous chantes, mais pas au-delà. (D’ailleurs, je pense que chaque maîtres avaient sa façon d’enseigné à l’époque, donc ce serait là un bon clin d’oeuil
) .
En suite, contrairement aux arts martiaux asiatique, notre particularité et le domaine de la recherche. Ainsi, il faut nous voir comme des arts martiaux de recherches et non des arts martiaux sportifs…et ça change tout selon moi ! Déjà, pas de maître, juste des organisateur / responsable. Comme c’est de la recherche et non un arts martial établie, personne ne peut se prévaloir d’être un maître, donc pas de grade, ce qui permettra au personne voulant créer une asso AMHE de le faire et non d’être dépendant d’une personne ayant au préalable reçu le « titre » en espérant que cette personne crée donc l’asso à proximité de là ou on habite (tout le monde n’habite pas en ville
), et en espérant qu’il veuille bien établir son domaine de recherche en rapport avec notre demande (ex : il ne veut travailler que l’épée longue, et vous, toutes les armes, ou juste épée et bouclier…ext) . D’autre par, pas de règle sportive établie par la fédération (comme j’ai pu le lire), vu que ces recherches ne sont pas dans un but sportif, qui à la longue va dénaturé le côté purement martial car chaque asso cherchera à rempoter divers récompenses pour prendre de la «bonne réputation » ne travaillant que les coups autorisé (tout en essayant de les optimisés dans le cadre «sportif ») et plus les coups interdis par le règlement … or a mes yeux, ce n’est pas le but. Cela n’empêche pas d’organiser des concours internes « officieux », mais avec chacun ses règles comme il l’entend.
Voilà, j’espère ne rien avoir oublier !