Arbalétriers montés.
Modérateur : L'équipe des gentils modos
- olivier de graharz
- Messages : 1105
- Enregistré le : ven. août 27, 2004 11:00 pm
- Localisation : Bruxelles
A mon sens les arbalétriers montés tiraient essentiellement cheval à l'arrêt.
L'intérêt que j'ai à croire une chose n'est pas une preuve de l'existence de cette chose.Voltaire
<a href="http://www.letemeraire.be" target="_blank"><img src="http://i19.servimg.com/u/f19/11/39/95/77/bannia14.jpg" alt="http://i19.servimg.com/u/f19/11/39/95/77/bannia14.jpg" style="border:0" /></a>
<a href="http://www.letemeraire.be" target="_blank"><img src="http://i19.servimg.com/u/f19/11/39/95/77/bannia14.jpg" alt="http://i19.servimg.com/u/f19/11/39/95/77/bannia14.jpg" style="border:0" /></a>
Le furet a dit :
Tout le doute est dans ce verbe "discharge". Tire t-il son carreau à cheval avant le choc ou l'enléve t-il simplement ?
De ce que je connais de l'emploie de ce mot, le sens de "tirer" m'apparait comme plus approprié plutot que "enlever"
De nouveau en ligne :
les forges batignollaises
l'encyclopédie médiévale de Maciejowski, (pas finite, hein)
Quelques couneries virtuelles
Aïe! Ouille! Oui, bon ok, je reviens doucement, patapé...
les forges batignollaises
l'encyclopédie médiévale de Maciejowski, (pas finite, hein)
Quelques couneries virtuelles
Aïe! Ouille! Oui, bon ok, je reviens doucement, patapé...
faudrait surtout que je regarde le texte original, parce que la trad de mark rector elle commence un peu a sentir le moisi par endroit.
Edit
Planche 267
Die illenden- Wie sich ainer halten sol in der flucht mit der armprost
Planche 268
Der wyl den under das pfert Renen- Hie hatt der den geschossen und stoszt
Im den Spiesz mit dem Armbrost hinweg und wurt in ergryffen by dem halsz
Planche 269
Hie wyl der den Recht empfahen mit dem Spiesz- Wie sich ainer halten sol mit dem Spiesz gegen ainem mit ainem Armbrost.
On notera que les arbalétriers ont des chevaux qui lèvent un antérieur, ce qui est souvent, dans les livres d'armes, une illustration de la marche au pas.
Sur la planche 167, par contre, le cheval est représenté comme le sont ceux qui galopent.
Edit
Planche 267
Die illenden- Wie sich ainer halten sol in der flucht mit der armprost
Planche 268
Der wyl den under das pfert Renen- Hie hatt der den geschossen und stoszt
Im den Spiesz mit dem Armbrost hinweg und wurt in ergryffen by dem halsz
Planche 269
Hie wyl der den Recht empfahen mit dem Spiesz- Wie sich ainer halten sol mit dem Spiesz gegen ainem mit ainem Armbrost.
On notera que les arbalétriers ont des chevaux qui lèvent un antérieur, ce qui est souvent, dans les livres d'armes, une illustration de la marche au pas.
Sur la planche 167, par contre, le cheval est représenté comme le sont ceux qui galopent.
L'occultisme, c'est la métaphysique des idiots.
Vous qui cherchez une discussion consensuelle, ne me répondez pas !
Vous qui cherchez une discussion consensuelle, ne me répondez pas !
exact
267 marque la fuite de l'arbalétrier
Les suivantes semblent présenter une technique d'esquive-réception de charge.
Faudra voir avec les Hackamores si quelqu'un d'assez fêlé veut tenter la manoeuvre. En tout cas, visuellement, ça ne doit rien avoir à envier aux maîtres de Kung Fu. Ces gravures m'ont permis de prendre conscience de l'existence des arts martiaux montés.
Merci qui?
Merci Talhofer (et Pierre Al)!
267 marque la fuite de l'arbalétrier
Les suivantes semblent présenter une technique d'esquive-réception de charge.
Faudra voir avec les Hackamores si quelqu'un d'assez fêlé veut tenter la manoeuvre. En tout cas, visuellement, ça ne doit rien avoir à envier aux maîtres de Kung Fu. Ces gravures m'ont permis de prendre conscience de l'existence des arts martiaux montés.
Merci qui?
Merci Talhofer (et Pierre Al)!
Grég le furet
56
Miles britto-romain an 5OO.
Letavia <a href="http://letavia.canalblog.com/" target="_blank">http://letavia.canalblog.com/</a>
56
Miles britto-romain an 5OO.
Letavia <a href="http://letavia.canalblog.com/" target="_blank">http://letavia.canalblog.com/</a>
-
- Messages : 162
- Enregistré le : lun. oct. 15, 2007 11:00 pm
- Localisation : Trevoux
[quote]
J'ai lu tous les posts sur l'arbalète, y compris les anciens rappelés par Che Kan. J'ai aussi comme livre de chevet principal sur ce sujet la thèse de Valérie Serdon. Mais les propos qui suivent sont plus issus de mes essais/expériences que de mes lectures, celles-ci n'apportant pas à ce jour toutes les réponses... ça ne vaut donc pas parole d'évangile, mais bon, l'histoire vivante, c'est ça aussi, non ?
NB : je suis piéton, pas cavalier. J'anime une troupe qui aborde le médiéval principalement par l'arbalète (Diaboli Arma) : cf pour ceux que ça intéresse mon post de présentation
La petite languette de fer, un ressort courbe qui passe au dessus de la noix et qui semble être une invention du XIIIe s, permet toutes les fantaisies de tir : arbrier orienté vers le bas (depuis les hourds ou les machicoulis), arbrier incliné sur le côté pour présenter l'arc de façon verticale (à mon avis seule solution pour utiliser certaines meurtrières étroites). Il peut bloquer suffisamment le carreau pour éviter que les tressautements liés au déplacement d'un cheval ne le fasse bouger.
Quasiment toutes les arbalètes XIV et XVe s que j'ai pu voir en sont équipées.
Armement d'une arbalète par un cavalier monté : à la main, je n'y crois pas, même avec un arc bois (je parle d'un arc à lamelles de bois = arc composite mélant bois, corne et cuir comme en archerie). Les arcs composite en arbalestrie atteignent des épaisseurs impressionnantes comme le montrent les enluminures. Il y en a une exposée au Musée des Invalides : datée du 15e s, son arc fait plus de 8 cm d'épaisseur, elle s'arme d'ailleurs au cranequin.
La mienne a un arc au + épais seulement 5 cm et si elle s'arme (assez) facilement à la main, sans s'aider du pied à l'étrier (de l'arbalète !) c'est difficile à envisager.
Quant aux arbalètes à une main, je n'en ai vu que 2 fois : aux Invalides, celle de Catherine de Médicis, et chez un antiquaire, un modèle 17e s à jalet (arbalète tirant des balles - souvent de terre - apparue au 16e s). L'efficacité de ce genre de "pistolet" reste à démontrer... même en combat rapproché !
Assurément, ce n'est pas ce matériel qui équipait les arbalestriers montés.
Alors, quels mécanismes sur leurs grandes arbalètes ?
Cranequin : certains cranequins vus à Castelnaud la Chapelle et au musée de l'armée (Invalides) ont l'air légers, néanmoins je ne pense pas qu'un cavalier puisse être efficace avec cet outil. L'échevaux de corde peut jouer des tours, en se coinçant sur l'arbrier. Et puis - et cette fois, je reviens à mes lectures - le cranequin, c'est pas avant le 15e s. Je crois donc plus à l'usage du pied de biche que l'on accroche ensuite à la selle. Dans l'ancien post rappelé par Che Kan, on voit un arbalétrier 14 ou 15e s galopant avec son arme prête à tirer : on ne voit pas son mécanisme d'armement, hélas, mais l'arbrier est plutôt fin, caractéristique des arbalètes à pied de biche. cf les nombreux modèles visibles à Castelnaud. Avantage : c'est léger ! (ce qui est appréciable pour un cavalier); Inconvénients : gare au choc de détente, aux vibrations et... aux doigts ! Voilà pourquoi très souvent les arbriers sont plus épais en leur milieu, là où l'on pose la main (gauche) en support. L'ergonomie n'était peut être qu'intuitive à l'époque, mais elle existait !
J'ai lu tous les posts sur l'arbalète, y compris les anciens rappelés par Che Kan. J'ai aussi comme livre de chevet principal sur ce sujet la thèse de Valérie Serdon. Mais les propos qui suivent sont plus issus de mes essais/expériences que de mes lectures, celles-ci n'apportant pas à ce jour toutes les réponses... ça ne vaut donc pas parole d'évangile, mais bon, l'histoire vivante, c'est ça aussi, non ?
NB : je suis piéton, pas cavalier. J'anime une troupe qui aborde le médiéval principalement par l'arbalète (Diaboli Arma) : cf pour ceux que ça intéresse mon post de présentation
La petite languette de fer, un ressort courbe qui passe au dessus de la noix et qui semble être une invention du XIIIe s, permet toutes les fantaisies de tir : arbrier orienté vers le bas (depuis les hourds ou les machicoulis), arbrier incliné sur le côté pour présenter l'arc de façon verticale (à mon avis seule solution pour utiliser certaines meurtrières étroites). Il peut bloquer suffisamment le carreau pour éviter que les tressautements liés au déplacement d'un cheval ne le fasse bouger.
Quasiment toutes les arbalètes XIV et XVe s que j'ai pu voir en sont équipées.
Armement d'une arbalète par un cavalier monté : à la main, je n'y crois pas, même avec un arc bois (je parle d'un arc à lamelles de bois = arc composite mélant bois, corne et cuir comme en archerie). Les arcs composite en arbalestrie atteignent des épaisseurs impressionnantes comme le montrent les enluminures. Il y en a une exposée au Musée des Invalides : datée du 15e s, son arc fait plus de 8 cm d'épaisseur, elle s'arme d'ailleurs au cranequin.
La mienne a un arc au + épais seulement 5 cm et si elle s'arme (assez) facilement à la main, sans s'aider du pied à l'étrier (de l'arbalète !) c'est difficile à envisager.
Quant aux arbalètes à une main, je n'en ai vu que 2 fois : aux Invalides, celle de Catherine de Médicis, et chez un antiquaire, un modèle 17e s à jalet (arbalète tirant des balles - souvent de terre - apparue au 16e s). L'efficacité de ce genre de "pistolet" reste à démontrer... même en combat rapproché !
Assurément, ce n'est pas ce matériel qui équipait les arbalestriers montés.
Alors, quels mécanismes sur leurs grandes arbalètes ?
Cranequin : certains cranequins vus à Castelnaud la Chapelle et au musée de l'armée (Invalides) ont l'air légers, néanmoins je ne pense pas qu'un cavalier puisse être efficace avec cet outil. L'échevaux de corde peut jouer des tours, en se coinçant sur l'arbrier. Et puis - et cette fois, je reviens à mes lectures - le cranequin, c'est pas avant le 15e s. Je crois donc plus à l'usage du pied de biche que l'on accroche ensuite à la selle. Dans l'ancien post rappelé par Che Kan, on voit un arbalétrier 14 ou 15e s galopant avec son arme prête à tirer : on ne voit pas son mécanisme d'armement, hélas, mais l'arbrier est plutôt fin, caractéristique des arbalètes à pied de biche. cf les nombreux modèles visibles à Castelnaud. Avantage : c'est léger ! (ce qui est appréciable pour un cavalier); Inconvénients : gare au choc de détente, aux vibrations et... aux doigts ! Voilà pourquoi très souvent les arbriers sont plus épais en leur milieu, là où l'on pose la main (gauche) en support. L'ergonomie n'était peut être qu'intuitive à l'époque, mais elle existait !
Party endenté de sable et d'argent, au lambel à V pendants de gueules
- medieviste
- Messages : 4745
- Enregistré le : mar. sept. 12, 2006 11:00 pm
- Localisation : colmar
Guillaume de Raderay a dit :
La petite languette de fer, un ressort courbe qui passe au dessus de la noix et qui semble être une invention du XIIIe s,
J'ai déjà vu cette petite languette sur les arbalètes d'Adrover, qui ne sont pas du tout historiques mais d'inspiration.
Cependant je n'en ai jamais vu sur les arbalètes d'époque (cf, collection du château de Castelnaud en Dordogne)
Sans doute ai-je mal regardé aussi.
As-tu des sources précises sur cette languette ?
Reinhardt von Rappolstein
-
- Messages : 162
- Enregistré le : lun. oct. 15, 2007 11:00 pm
- Localisation : Trevoux
Medieviste : je suis sûr que Valérie Serdon en parle de ce ressort, de cette languette. Il faut que je retrouve où dans cet énorme pavé.
Je vais chercher, promis.
En attendant, je viens de refaire un tour sur mes photos de Castelnaud. Toutes n'en sont pas équipées, mais certaines si. Il est possible que sur celles qui n'en n'ont pas, le système assez fragile, soit cassé. Certaines présentes des trous ds les arbriers à l'arrière de la noix qui pourrait être l'emplacement de la pointe qui tenait la languette.
Impossible d'arriver à mettre une photo en direct sur ce forum : ça me dit à chaque fois fichier introuvable (?) Mais je peux t'adresser par email une photo qui prouve l'existence de cet accessoire au moins donc sur certaines arbalètes XVe s exposées à Castelnaud.
Si OK, donne moi un email par MP : la photo qui tend à prouver que tu as effectivement mal regardé à Castelnaud est un fichier de 2.2 MO. En agrandissant, on voit nettement la "chose", mais il faut agrandir...
Je vais chercher, promis.
En attendant, je viens de refaire un tour sur mes photos de Castelnaud. Toutes n'en sont pas équipées, mais certaines si. Il est possible que sur celles qui n'en n'ont pas, le système assez fragile, soit cassé. Certaines présentes des trous ds les arbriers à l'arrière de la noix qui pourrait être l'emplacement de la pointe qui tenait la languette.
Impossible d'arriver à mettre une photo en direct sur ce forum : ça me dit à chaque fois fichier introuvable (?) Mais je peux t'adresser par email une photo qui prouve l'existence de cet accessoire au moins donc sur certaines arbalètes XVe s exposées à Castelnaud.
Si OK, donne moi un email par MP : la photo qui tend à prouver que tu as effectivement mal regardé à Castelnaud est un fichier de 2.2 MO. En agrandissant, on voit nettement la "chose", mais il faut agrandir...
Party endenté de sable et d'argent, au lambel à V pendants de gueules
-
- Messages : 162
- Enregistré le : lun. oct. 15, 2007 11:00 pm
- Localisation : Trevoux
MEDIEVISTE : je n'ai pas encore retrouvé le chapitre décrivant la languette ds la "bible Serdon",mais photo à l'appui, regardez ds son livre les planches logées entre les p 159 et 160 : figure 120.
Là, pas besoin d'agrandir la photo comme sur celle de Castelnaud que j'ai proposé de vs envoyer par email, on la voit très nettement, sur un modèle tardif 15e ou 16e s qui se situe au musée Unterlinden de Colmar; ça devrait donc pas vous estre difficile d'aller vérifier sur place !
Cordialement
Là, pas besoin d'agrandir la photo comme sur celle de Castelnaud que j'ai proposé de vs envoyer par email, on la voit très nettement, sur un modèle tardif 15e ou 16e s qui se situe au musée Unterlinden de Colmar; ça devrait donc pas vous estre difficile d'aller vérifier sur place !
Cordialement
Party endenté de sable et d'argent, au lambel à V pendants de gueules
- Gabrielo di Napoli
- Messages : 51
- Enregistré le : dim. nov. 21, 2010 1:29 pm
et que pensez vous de la possibilité d'arbalète à main? On n'a dans notre troupe un gars qui en possèdent une, fait avec des matériaux d'époque, mais pas sourcé. Toutefois si l'armement se fait à la main, l'arme a assez de puissance pour percer un corps.
Vos mieux mobiliser son intelligence sur des conneries, que sa connerie sur des choses intelligentes!
Tu as les arbalétriers vénitiens stradiotto qui sont réputés justement pour tirer montés (CONTAMINE (P.), La Guerre au Moyen Age, Paris, Presses Universitaires de France, 1999, p.245).
Après j'ai vu quelques images d'archers montés, mais elles sont très rares.
Après j'ai vu quelques images d'archers montés, mais elles sont très rares.
- Gabrielo di Napoli
- Messages : 51
- Enregistré le : dim. nov. 21, 2010 1:29 pm
Si tu en as je suis preneur mais je parlé monté oui, mais avec arbalète à une main, du moins que l'on peut recharger à cheval et ensuite tiré en tenant la bribe.
Vos mieux mobiliser son intelligence sur des conneries, que sa connerie sur des choses intelligentes!
Bréviaire d'été de Renaud de Bar (Metz - environ 1302)
Chez Eodhel, sur mediaephile:
Français 6465, fol. 154v, Bataille de la Vienne (879) vers 1455-1460
Français 2675, fol. 150, Bataille de Crécy (1346) - 2nd quart XV
Tu as une arbalète sur la gauche, montée.
-
- Messages : 263
- Enregistré le : jeu. juil. 21, 2011 3:48 pm
- Localisation : Alsace - Poche de colmar
heu sur la droite l'arbalete montée
Membre des guerriers d'avalon http://www.guerriers-avalon.org/
- Che Khan
- Messages : 3243
- Enregistré le : dim. juin 26, 2005 11:00 pm
- Localisation : Brabant Wallon (Belgique)
- Contact :
Yo
C'est, en général, des troupes mercenaires utilisées par la "République de Venise" et provenant de ses possessions balkaniques. De ce fait, les "Stradiotto" ont un look très proche des "cavaliers des steppes" dont ils ont copiés l'équipement et les traditions équestres. Il n'y a donc aucun étonnement de les voir tirer à l'arc en mouvement.
Bien à tous.
les "Stradiotto" ( ou estradiot) me semble être plus des archers légers à cheval que des arbalétriers à cheval.bellabre a écrit :Tu as les arbalétriers vénitiens stradiotto qui sont réputés justement pour tirer montés (CONTAMINE (P.), La Guerre au Moyen Age, Paris, Presses Universitaires de France, 1999, p.245).
C'est, en général, des troupes mercenaires utilisées par la "République de Venise" et provenant de ses possessions balkaniques. De ce fait, les "Stradiotto" ont un look très proche des "cavaliers des steppes" dont ils ont copiés l'équipement et les traditions équestres. Il n'y a donc aucun étonnement de les voir tirer à l'arc en mouvement.
Bien à tous.
Che Khan, archer 'tatar'
Ma période : Mongol de la "Horde d'Or" / 1350 - 1360.
Mon site : L'Ordoo du Corbeau Rouge
Mon autre site : Ravélo - Randos
Enregistré sur ce forum le 27 Juin 2005.
Ma période : Mongol de la "Horde d'Or" / 1350 - 1360.
Mon site : L'Ordoo du Corbeau Rouge
Mon autre site : Ravélo - Randos
Enregistré sur ce forum le 27 Juin 2005.
- Gabrielo di Napoli
- Messages : 51
- Enregistré le : dim. nov. 21, 2010 1:29 pm
Merci beaucoup mais je ne vois toujours pas d'arbalète a main
Vos mieux mobiliser son intelligence sur des conneries, que sa connerie sur des choses intelligentes!