
C'est vrai qu'il est mimi en blond... Il ne reste plus qu'à faire les mêmes cet été avec un maillot de bain rouge, en compagnie du Grouik en train de faire du surf avec son écu sur la Dordogne....

Modérateur : L'équipe des gentils modos
golem a écrit :Même pas mal, na.
Il y a un peu plus d'informations dans le livre, ce sont des données qui se basent sur les valeurs des cargaisons. Je n'ai extrait que quelques données qui me semblaient utiles pour se faire une idée.enguerrand de calonges a écrit : Par contre, je trouve étonnant que l'auteur ne donne des estimations de revenus que pour les plus pauvres et les classes moyennes qui, en l'occurance, ne sont a priori pas très concernés par les achats de haubert!!! Et puis généralement, on trouve plus facilement des données chiffrées pour les classes supérieures.
Là, on voit que le prix d'un haubert équivaut à une petite moitié du revenu annuel moyen de la "classe moyenne" mais à quoi correspond la classe moyenne dont il parle et comment se situe-t-elle par rapport à l'aristocratie? L'auteur n'en parle pas dans son livre?
Je ne crois pas. Mais ce n'est pas la première fois que j'entends parler de faible valeur pour une épée. Quand on pense qu'une belle pièce de soie ou de tissu flamand pouvait coûter de 10£ à 17£enguerrand de calonges a écrit :Je trouve assez impressionnant le prix d'une épée par rapport à celui d'un haubert! Sait-on s'il y avait une production de "type industriel" en Lombardie à cette époque (de "l'épée jetable" en quelque sorte)???
Sans souci, c'est Hugues de Saint-Martin le photographe (de Fief)enguerrand de calonges a écrit :Aller, maintenant, le petit instant flood!!! Plutôt réussies tes photos de "Samantha en haubert"!!! Tu m'autorises à la mettre sur notre site dans la (future) rubrique bêtiser???![]()