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smaragde
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jeu. déc. 29, 2005 12:55 pm

Il donne quelques estimations vagues, mais tu peux aisément les compter pour une période du XII au XV, du moins en se basant sur "Shoes and Pattens" qui recense plus largement les formes de chaussures du MA.
Smaragde d'Antreloup,


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malko
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jeu. déc. 29, 2005 1:02 pm

Smaragde a dit : Il donne quelques estimations vagues, mais tu peux aisément les compter pour une période du XII au XV, du moins en se basant sur "Shoes and Pattens" qui recense plus largement les formes de chaussures du MA.
Merci pour l'info. Je vais me replonger dans le "Shoes and Pattens".
Quelqu'un a un dico français-anglais? J'ai oublié d'en commander un au père noël. ;)
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smyrnoff
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jeu. déc. 29, 2005 8:42 pm

malko87 a dit :
Merci pour l'info. Je vais me replonger dans le "Shoes and Pattens".
Quelqu'un a un dico français-anglais? J'ai oublié d'en commander un au père noël. ;)
http://dictionary.reference.com/translate/text.html
Ca vaut que ça vaut, et c'est même parfois amusant...
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"...Chef!Chef! Pourquoi s'que l'chevalier y court en zig-zag...???"


"...La ferme...,et passes-moi une flèche...!!!"
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brunal
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ven. déc. 30, 2005 7:18 am

Sinon en traducteurs sur le net, on trouve aussi google, et babelfish ;)
De nouveau en ligne :
les forges batignollaises
l'encyclopédie médiévale de Maciejowski, (pas finite, hein)
Quelques couneries virtuelles
Aïe! Ouille! Oui, bon ok, je reviens doucement, patapé...
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malko
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ven. déc. 30, 2005 7:40 am

Et on fait comment quand on n'a pas le net à la maison? [img]kator/smiley152.gif[/img]
On ressort les bons vieux dicos papier.
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brunal
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ven. déc. 30, 2005 12:26 pm

Ou alors on se repasse toutes les saisons de buffy en vo et en boucle, jusqu'a maitriser parfaitement la langue de Charisma Carpenter, et ensuite pu de problème ;)

"Hey, pointy toothed, was this stick pointy enough for ya?"
De nouveau en ligne :
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brunal
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ven. déc. 30, 2005 12:29 pm

Bon bon, ok vala la trzduction de la première moitié des jacques et doublet à armer
(le reste plus tard, y en a qui bossent ici !! (ben si c vrai)

Traduction de "Un manuel sur les jacques et doublets à armer"
par D Rushworth
Tel 01484 512968

--------- (saut de page)

[Surcot doublé de plateu] (légende d'image)

Les jacques et les Doublets à armer sont souvent pensés comme étant similaires, bien qu'ils soient en fait distincts mais tout de même apparentés.

Cette confusion vient d'ancêtres communs de l'époque on la maille était la forme principale d'armure et qu'un sous-vêtement rembourré ou constitué de plein de couches était porté pour absorber les chocs et prévenir l'abrasion.

Les pierres tombales montre celà comme une épaisse tunique rembourrée probablement passée par dessus la tête.

Les premières plaques d'armure étaient simples, souvent montées après coup sur un bras déjà compètement recouvert de mailles, et semblent improvisées. Je soupçonne que c'était une réaction à la montée en présence d'armes de jet de plus en plus efficaces dans la fin du XIIIeme siècle.

Avec l'introduction de plaques ajustées dans le courant du XIVeme siècle, il devait y avoir des changements.

---------

La maille était et est une armure onéreuse, les piétons avaient besoin de quelque chose de moins cher, et plus léger/. La réponse résidait dans l'utilisation du même vêtement multi couches que les chevaliers utilisaient pour augmenter leur armure.

[Ce dessin est refait à partir de la bible de Maciejowsky illuminée dans le milieu du XIIIeme siècle Il semble porter deux gambisons, un avec des manches et gants intégrés, et un sans manches porté par dessus.]

------------

Les plaques d'armures médiévales étaient généralement lacées sur des sous vêtements ajustés et rembourrés et munis d'oeillets pour fixer les plaques individuelles sur le porteur.

Il y avait deux écoles de pensée au sujet de ce qui allait sur le corps.

Dans ce cas, un petit manteau est porté, un simple doublet sans manches pour tenir les heuses à armer.

[Lacets pour l'armure de jambe, ou cuisse]
[double épaisseur pour protéger les genoux de la genouillère]
[Chaussure à armer rembourrée avec lacet pour tenir en position l'armure de pied]

----------------

Le petit manteau était de deux épaisseurs de lin, coupé pour être très ajusté, ouvert sur le devant afin de pouvoir être lacé serré. Noter qu'il est étroit sur l'épaule afin de laisser le bras libre de bouger.

Par dessus était porté le doublet à armer. qui était ajusté, rembourré et piqué, dans ce cas horizontalement, il pouvait être troué d'oeillets pour insérer des lacets, ou bien les lacets pouvaient être directement cousus sur le doublet.

Ce dessin est basé sur un original Allemand qui se ferme avec des languettes et boutons de cuir, les lacets sont plus fréquents sur les illustrations d'époque.

Il faut aussi noter que les doublets à armer, et en particulier ceux allemands, étaient faits pour être portés par dessous une maille complète, les panneaux de mailles lacés, voidures, étaient une inovation plus tardive et peut être italienne.

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Il y avait une autre école de pensée qui préférait une approche tout en un, pas de chemise, et le doublet à armer va directement sur la peau, doublé de satin, afin que le rembourrage de soie n'emprisonne pas la peau dans la sueur.

[Lacets à l'épaule pour le protège brau]
[Lacets au coude pour la coudière]
[oeillets aux hanches pour la heuse à armer]
[Lacets au sommet de la jambe pour la cuisse] [La heuse à armer ne comporte pas de pied et se fixent à la cheville]

[Heure fendue au genou pour faciliter la flexion de la jambe]

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Toutes ces pieces d'armures lacées à un sous vêtement sont visible sur des illustrations contemporaines ou des armures originales survivantes..

Quand vous savez quoi chercher elles apparaissent de tout coté.

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Parfois, le doublet à armer était augmenté de pieces rembourrées sur les épaules ou les hanches. Vers la fin du 16eme siècle, elles remplacaient les doublets à armer
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patron
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