Je signale pour tous les XIemistes du forum un ouvrage que certains connaissent peut-être déjà, mais tant pis
ils s'agit des actes d'un colloque paru aux presses universitaires de Caen, intitulé "La tapisserie de Bayeux: l'art de broder l'Histoire"
on y trouve une intéressante étude technique de la tapisserie, une analyse critique des publications à son sujet entre 1988 et 1999, une synthèse des grands débats qu'elle a suscité depuis le XIXe et enfin sa mise en perspective avec les sources textuelles de l'époque
donc voilà, ça a l'air vraiment bien et fort bien documenté
le livre coute 39.50€ pour ceux qui seraient intéressés (mais je le vends pas! je signale juste son existence)
à dieu
Enguerrand
"Tapisserie de Bayeux"
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- enguerrand le baille
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- Hermelind
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Floodito ergo sum
Reporter de guerre 1214
Rhum ! Rhum ! Rhum !
ENLUMINURE ! PAS ICONO ! SCROGNEUGNEU !
Grande Machine Ahurie, adoratrice servile de Prez Tagada.
La Prez a TOUJOURS raison !
CQHB !!!
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- enguerrand le baille
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oui sans aucun doute!
ou dans les bonnes librairies...ou les bonnes bibliothèques (là je prêche pour ma paroisse! ;-)))
à dieu
Enguerrand
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Enguerrand
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- raymond roger
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A lire aussi le passionnant "L'Histoire secrète de la tapisserie de Bayeux" d'Andrew Bridgeford
Résumé :
Voici neuf cents ans que la tapisserie de Bayeux, ouvrage riche en détails exquis, en réjouissante verdeur, en noble tragédie, immortalise la gloire de la conquête de l'Angleterre par les Normands en 1066.
Les épisodes célèbres de la bataille de Hastings, de la mort du roi Harold et de la domination de Guillaume, duc de Normandie, sont tissés à tout jamais dans cette tapisserie - et dans l'histoire de l'Angleterre. Mais, demande l'historien Andrew Bridgeford, faut-il se fier aux apparences? Dans cette révision, qui fera date, d'un chapitre crucial de l'histoire anglaise, il nous montre comment, au nez et à la barbe des Normands, le point de vue des vaincus anglo-saxons fut ingénieusement glissé, sous une forme codée, entre les fils de l'ouvrage.
Un comte français, personnage énigmatique, se trouve au centre de ce récit passionnant, peuplé d'évêques guerriers ambitieux, de chevaliers impitoyables et de femmes puissantes, où se côtoient l'apparat, le courage et la tromperie et où rien n'est jamais aussi simple qu'on pourrait le croire de prime abord. Sous le ciel de lin gris, l'immense armada arrive à présent à portée de vue des rivages du Sussex.
De quelle terreur elle dut emplir les cœurs de ceux qui la virent approcher: d'abord quelques vagues points éparpillés à l'horizon, puis d'autres points et d'autres encore jusqu'à ce qu'on pût les compter par centaines et les voir prendre peu à peu la forme de navires de guerre, vision terrifiante qui ne cessait de se rapprocher, le métal des épées et des boucliers lançant des éclairs, ici et là, sous la lumière oblique du matin.
A l'intérieur des navires, l'armée ne songeait qu'à cette mission que les Anglais redoutaient depuis si longtemps et ils arrivaient trois semaines seulement après que Harold eut ordonné à ses propres hommes de rentrer chez eux.
Résumé :
Voici neuf cents ans que la tapisserie de Bayeux, ouvrage riche en détails exquis, en réjouissante verdeur, en noble tragédie, immortalise la gloire de la conquête de l'Angleterre par les Normands en 1066.
Les épisodes célèbres de la bataille de Hastings, de la mort du roi Harold et de la domination de Guillaume, duc de Normandie, sont tissés à tout jamais dans cette tapisserie - et dans l'histoire de l'Angleterre. Mais, demande l'historien Andrew Bridgeford, faut-il se fier aux apparences? Dans cette révision, qui fera date, d'un chapitre crucial de l'histoire anglaise, il nous montre comment, au nez et à la barbe des Normands, le point de vue des vaincus anglo-saxons fut ingénieusement glissé, sous une forme codée, entre les fils de l'ouvrage.
Un comte français, personnage énigmatique, se trouve au centre de ce récit passionnant, peuplé d'évêques guerriers ambitieux, de chevaliers impitoyables et de femmes puissantes, où se côtoient l'apparat, le courage et la tromperie et où rien n'est jamais aussi simple qu'on pourrait le croire de prime abord. Sous le ciel de lin gris, l'immense armada arrive à présent à portée de vue des rivages du Sussex.
De quelle terreur elle dut emplir les cœurs de ceux qui la virent approcher: d'abord quelques vagues points éparpillés à l'horizon, puis d'autres points et d'autres encore jusqu'à ce qu'on pût les compter par centaines et les voir prendre peu à peu la forme de navires de guerre, vision terrifiante qui ne cessait de se rapprocher, le métal des épées et des boucliers lançant des éclairs, ici et là, sous la lumière oblique du matin.
A l'intérieur des navires, l'armée ne songeait qu'à cette mission que les Anglais redoutaient depuis si longtemps et ils arrivaient trois semaines seulement après que Harold eut ordonné à ses propres hommes de rentrer chez eux.
E venc tot dreit la peira...
- berhthramm
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Je confirme que l'art de broder l'histoire est un vrai "must have", il explore l'ensemble des théories à propos des brodeurs et des commanditaires, l'étude du costume vaut à elle seule l'achat du bouquin... Le livre signale aussi l'ensemble des tableaux rénovés et donc les parties à éviter comme sources...
Si on ne doit en avoir que deux sur la Tapisserie, c'est celui là et le Musset.
Si on ne doit en avoir que deux sur la Tapisserie, c'est celui là et le Musset.
- enguerrand le baille
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Bon ben content d'avoir fait une bonne pioche, en même temps les publications de l'université de caen sont en général de grande qualité...
et que penser de celui de David MacKenzie Wilson paru chez Albin Michel en 1985?? (un gros ouvrage avec bcp de repro de la dite tapisserie...)
à dieu
Enguerrand
et que penser de celui de David MacKenzie Wilson paru chez Albin Michel en 1985?? (un gros ouvrage avec bcp de repro de la dite tapisserie...)
à dieu
Enguerrand
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