[société] Les infirmes au Moyen-Âge
Modérateur : L'équipe des gentils modos
- cassetrogne
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Justinien Trouvé ou le batard de Dieu est une histoire qui se passe au .... XVIII°.
Cassetrogne, Ménestrier aux Coquillards de Villon
http://www.coquillards-de-villon.com
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Si sibi pilosus est, legitimus !
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Si sibi pilosus est, legitimus !
C'est sûr.Dans la "déficience", à part les atteintes purement fonctionnelles, intervenait aussi l'aspect physique, mettant la personne atteinte en situation de handicap et d'exclusion: réf: "Le martyre des affreux".
Faut aussi goupiller cela avec le r ecul et la mentalité MA, très différente de celle de notre société....!
Et d'abord arrêter les ciconvolutions et les précautions oratoires pour ne pas [no]prononcer[/no] écrire les mots handicap, handicapé, débile mental (débile signifie déficient, fragile, on peut être de santé débile), boiteux, avaugle etc.
Ces précautions oratoires sont typiquement XXIè où on a honte de ce qui est et surtout où on a la trouille de subir un procès pour non adhésion au "politiquement correct".
Un aveugle ne voit pas mieux si on dit de lui qu'il est mal-voyant, un sourd n'est pas moins sourd s'il est "mal entendant",l'"idiot du village" ou le ravi de la crêche n'est pas moins simplet si on l'appelle "déficient mental" et pour finir une personne sans handicap n'est pas "valide" mais "normale" ; et tant pis pour les hyper-susceptibles et tant pis pour la langue de bois.
Sinon, pour en revenir (presque) presque au sujet : est-ce que le pied bot de Jeanne de Bourgogne, dite Jeanne la boiteuse (~1293-1349)l'a empêchée de régner ? On dirait bien que non...
Même s'il s'agit d'un cas particulier et qu'il ne s'agit pas du peuple (et qu'une fille c'est uen possibilité d'alliance, ça se monnaye) mais c'est un exemple parmi d'autres.
<span style="color: #0000ff;">Mediaephile </span><a href="http://mediaephile.com" target="_blank">http://mediaephile.com </a> Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage. S.Guitry
Pour, pouf....
Si on reprend la définition de la CIF (voir mon post plus haut), TOUT le monde peut être en situation de handicap, c'est à dire "ne pas arriver à accomplir une tâche ou une action" même "courante", PEU IMPORTE si elle a des déficiences et/ou atteintes fonctionnelles, cognitives ou sensorielles.
Bête exemple: prenez le métro (escaliers, tourniquets, portillons et autres) muni d'une grosse valise parce que vous partez en vacances.....ou parce que vous êtes une jeune maman fringante avec un gnome qui commence à trotiner et un bébé en poussette....
Dans les deux cas, la personnes est "valides", n'a pas d'atteintes fonctionnelles.... C'est l'environnement qui la met en situation de handicap, c. à d; d'éprouver des contraintes et des difficultés à réaliser la tâche "prendre la métro".
Exemple vécu de vécu. Je retrouve un copain aveugle dans son patelin et on décide d'aller faire un tour. Moi, c'est la première fois que j'y viens, donc ne connais pas les chemins menant d'un endroit à l'autre: c'st mon pote aveugle qui m'indique la direction à prendre....
La Totale! Un touriste en voiture dcapotable s'arrête, nous apostrophe en demandant son chemin. Moi: muette, incapable ne connaisant pas la ville, de l'orienter: hancicapée!. Mon pote (et il est très visible de constater sa cécité) commence à explqiuer, avec forces détails le trajet à suivre.....
Je vous raconte pas la tronche du conducteur! (et nous morts de rire)
Prenez le premier pur citadin intelligent et lâcher-le en foret amazonienne.... il sera handicapé grave!
Si on reprend la définition de la CIF (voir mon post plus haut), TOUT le monde peut être en situation de handicap, c'est à dire "ne pas arriver à accomplir une tâche ou une action" même "courante", PEU IMPORTE si elle a des déficiences et/ou atteintes fonctionnelles, cognitives ou sensorielles.
Bête exemple: prenez le métro (escaliers, tourniquets, portillons et autres) muni d'une grosse valise parce que vous partez en vacances.....ou parce que vous êtes une jeune maman fringante avec un gnome qui commence à trotiner et un bébé en poussette....
Dans les deux cas, la personnes est "valides", n'a pas d'atteintes fonctionnelles.... C'est l'environnement qui la met en situation de handicap, c. à d; d'éprouver des contraintes et des difficultés à réaliser la tâche "prendre la métro".
Exemple vécu de vécu. Je retrouve un copain aveugle dans son patelin et on décide d'aller faire un tour. Moi, c'est la première fois que j'y viens, donc ne connais pas les chemins menant d'un endroit à l'autre: c'st mon pote aveugle qui m'indique la direction à prendre....
La Totale! Un touriste en voiture dcapotable s'arrête, nous apostrophe en demandant son chemin. Moi: muette, incapable ne connaisant pas la ville, de l'orienter: hancicapée!. Mon pote (et il est très visible de constater sa cécité) commence à explqiuer, avec forces détails le trajet à suivre.....
Je vous raconte pas la tronche du conducteur! (et nous morts de rire)
Prenez le premier pur citadin intelligent et lâcher-le en foret amazonienne.... il sera handicapé grave!
Du reste: pas la peine de le lâcher en Amazonie: on le laisse à la cambrousse, sans voiture pour faire 4 km, puiser l'eau au puit, se chauffer au bois et y cuisiner (et autre que barbecue), sans salle de bain ni électricité....
J'ai déjà fait le coup à certains.... et encore ils devaient aller tuer la poule!
Morte de rire!
J'ai déjà fait le coup à certains.... et encore ils devaient aller tuer la poule!
Morte de rire!
alors on parle plus actuellement de cat mais d'ESAT en france depuis cette gentil loi de fevrier 2005, pour ce qui est de du mot handicap, je prefere parler de situation de handicape en effet ce n'est pas la personne mais l'enviroonement qui crée le handicap (pas besoin d'aller en amazonie, juste paris suffira) et d'aileur dans la cif on ne parle plus de handicap mais de desavantage sociale.
pour ma part je prefere aussi le terme valide au terme normale, valide reprend plus l'idée d'action et de réalisation dans un envirommenent donné tandis que normale implique effectivement une comparaisonentre deux population avec un petit coté de discrimination.
enfin bon suis pas au boulot
sinon il ya aussi le frere du guerrier qui est pas mal du tout, le film traduit bien la detresse d'un personnage ayant subit un traumatisme et un choc post traumatique, ce qui me plait c'est la façon dont on le perçoit ensuite au sein du village et comment il évolue tout au long du film.
pour ma part je prefere aussi le terme valide au terme normale, valide reprend plus l'idée d'action et de réalisation dans un envirommenent donné tandis que normale implique effectivement une comparaisonentre deux population avec un petit coté de discrimination.
enfin bon suis pas au boulot
sinon il ya aussi le frere du guerrier qui est pas mal du tout, le film traduit bien la detresse d'un personnage ayant subit un traumatisme et un choc post traumatique, ce qui me plait c'est la façon dont on le perçoit ensuite au sein du village et comment il évolue tout au long du film.
Poudre aux yeux et précautions oratoires.... En réalité plus personne ne veut assumer, il faut tout cacher - et créer de fait de plus en plus de tabous : ce sont là des préoccupations de sociétés qui n'ont plus rien d'autre à faire que de réfléchir à ça (parce qu'en vérité elles ne peuvent pas agir).on ne parle plus de handicap mais de desavantage sociale.
Rebaptiser une personne naine "personne de petite taille" ne change rien à son affaire, mais "on" a moins l'impression de devoir faire face à une situation déroutante et perturbante. C'est le même état d'esprit bureaucratique (et qui n'a rien d'autre à faire!) qu'on a hérité des "techniciennes de surface" et du "didactiel rebondissant" (respectivement femmes de ménage et ballon - et non l'inverse).
Coluche, reviens !
Il n'y avait que toi pour appeler un chat un chat, tout en en prenant soin et le respectant...
<span style="color: #0000ff;">Mediaephile </span><a href="http://mediaephile.com" target="_blank">http://mediaephile.com </a> Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage. S.Guitry
- floren d´asteneuz
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Je suis d'accord avec Eodhel.
J'estime que parler avec des mots déviants pour éviter d'appeler un chat un chat, c'est précisément justifier la "charge" qu'il y a sur les mots réels.
Un handicapé est un handicapé, une personne porteuse d'un handicap. Non, pas porteuse d'une paire de valises une fois par ans, mais porteuse d'un handicap... Tous les jours. Et qui vit ce genre de situation... Tous les jours aussi.
Si on a peur de dire "normal" pour une personne valide, on justifie la discrimination de l'anormalité. Alors qu'être anormal, c'est être hors de la norme, c'est une simple question de statistiques.
Et je peux vous donner des dizaines de situations où "être invalide" est considéré péjorativement.
alors, on dira quoi, après ?
Ce contre quoi il faut lutter, c'est contre la discrimination, contre le fait d'écarter les personnes qui ne sont pas dans la norme, contre le fait de réduire un individu, une personne humaine, à un simple détail de sa vie : son handicap.
Un détail qui peut prendre beaucoup d'importance dans sa vie, mais un détail quand-même qui est loin de représenter la personne dans son ensemble.
Ne justifions pas les personnes qui emploient des mots simples et précis d'une manière barbare et humiliante, et justifions l'emploi de ces termes d'une manière objective, neutre, explicative et explicite, c'est la seule manière de se battre contre l'intolérance par les mots... Si et seulement si on se bat contre l'intolérance parallèlement à ça.
Je me permet, en tout cas, de donner cet avis, parce que je suis porteur de handicap, taré, anormal, depuis maintenant plus de 25 ans, et je sais, pour ma part, qu'un mot politiquement correct peut blesser d'une manière profonde là où une insulte ne fera plus que m'effleurer.
Je ne suis pas que ça, je suis aussi et surtout le reste, et j'entends à ce qu'on parle de ces choses d'une manière objective sans se cacher derrière une gêne.
Je n'ai pas peur de me considérer comme anormal. Je ne suis pas dans la norme, et ne pas être dans la norme n'a jamais été blâmable.
Si ?
J'estime que parler avec des mots déviants pour éviter d'appeler un chat un chat, c'est précisément justifier la "charge" qu'il y a sur les mots réels.
Un handicapé est un handicapé, une personne porteuse d'un handicap. Non, pas porteuse d'une paire de valises une fois par ans, mais porteuse d'un handicap... Tous les jours. Et qui vit ce genre de situation... Tous les jours aussi.
Si on a peur de dire "normal" pour une personne valide, on justifie la discrimination de l'anormalité. Alors qu'être anormal, c'est être hors de la norme, c'est une simple question de statistiques.
Et je peux vous donner des dizaines de situations où "être invalide" est considéré péjorativement.
alors, on dira quoi, après ?
Ce contre quoi il faut lutter, c'est contre la discrimination, contre le fait d'écarter les personnes qui ne sont pas dans la norme, contre le fait de réduire un individu, une personne humaine, à un simple détail de sa vie : son handicap.
Un détail qui peut prendre beaucoup d'importance dans sa vie, mais un détail quand-même qui est loin de représenter la personne dans son ensemble.
Ne justifions pas les personnes qui emploient des mots simples et précis d'une manière barbare et humiliante, et justifions l'emploi de ces termes d'une manière objective, neutre, explicative et explicite, c'est la seule manière de se battre contre l'intolérance par les mots... Si et seulement si on se bat contre l'intolérance parallèlement à ça.
Je me permet, en tout cas, de donner cet avis, parce que je suis porteur de handicap, taré, anormal, depuis maintenant plus de 25 ans, et je sais, pour ma part, qu'un mot politiquement correct peut blesser d'une manière profonde là où une insulte ne fera plus que m'effleurer.
Je ne suis pas que ça, je suis aussi et surtout le reste, et j'entends à ce qu'on parle de ces choses d'une manière objective sans se cacher derrière une gêne.
Je n'ai pas peur de me considérer comme anormal. Je ne suis pas dans la norme, et ne pas être dans la norme n'a jamais été blâmable.
Si ?
<img src="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" alt="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" style="border:0" /> <span style="font-family: Engravers MT;">Vis fidei <a href="http://www.heraldique-europeenne.org" target="_blank"><img src="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" alt="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" style="border:0" /></a> In actis honor</span>
- oriabel
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Tout ceci est très intéressant, mais le sujet porte sur les infirmes au Moyen Age.
Prez, Lumière des Lumières, Sancta Domina, Muse du Savoir Médiéval et Chantre de la Reconstitution, Katochka !
- floren d´asteneuz
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Je suis d'accord avec toi sur beaucoup de choses, Thillo...
notamment :
- Le regard des autres. C'est quelque chose de très difficile à accepter, et ce n'est pas parce que personnellement j'ai accepté "anormal" ou "taré" que j'ai accepté ce regard. Par exemple, pour ma part, qu'on puisse discuter ma validité, alors que précisément, une tare, un handicap, ne fait pas de moi une personne invalide (pour la société), ça peut s'avérer très frustrant. (L'exemple d'Yrwanel avec son ami aveugle est très parlant, ce concernant !)
- Je comprends ton bonheur à ne pas avoir de handicap, et je ne comprendrais pas une personne qui ne se sentirait pas heureuse d'être passée à côté d'un handicap. Et je crois que ce rejet du handicap pour soi fait partie intégrante de cette démarche qui consiste à appeler une personne handicapée par des noms "politiquement corrects" (ça rejoint aussi le point "regard des autres", pour moi). Bien entendu, je ne sais pas comment ça se passait au moyen-âge, mais ton analyse sur le regard et sur les craintes me semble pour le moins fondée.
Je dirais juste une dernière chose : être anormal, ça n'empêche pas d'être intégré dans la société. Un nomble est anormal, un Roi est anormal, pour le moyen âge. Pour notre époque, un homme politique est anormal.
Par contre, être invalide... Ton oncle est-il invalide, alors qu'il a trouvé du travail, alors qu'il s'est justement battu pour être valide ? (à la rigueur, je suis encore moins valide que lui...)
Est-ce judicieux de penser qu'à l'époque qui nous concerne, les personnes handicapées étaient considérées comme invalides pour la société, ou, au contraire, considérées comme valides et utilisables, "exploitables" pour la société ?
Je terminerai par dire que je ne me sens pas l'âme d'être ambassadeur des personnes handicapées, je parle pour moi, certes, mais j'évoque des concepts plus concrets qu'un simple témoignage
MAJ : tiens, pendant qu'on y est : un lien vers le travail d'une personne (un peu ambassadrice, elle) qui passe un peu sa vie à former les professionnels au handicap, tu peux me dire ce que tu en penses en privé ?
(toi ou quiconque se sentirait assez inspiré pour télécharger cette présentation powerpoint de cinq minutes)
notamment :
- Le regard des autres. C'est quelque chose de très difficile à accepter, et ce n'est pas parce que personnellement j'ai accepté "anormal" ou "taré" que j'ai accepté ce regard. Par exemple, pour ma part, qu'on puisse discuter ma validité, alors que précisément, une tare, un handicap, ne fait pas de moi une personne invalide (pour la société), ça peut s'avérer très frustrant. (L'exemple d'Yrwanel avec son ami aveugle est très parlant, ce concernant !)
- Je comprends ton bonheur à ne pas avoir de handicap, et je ne comprendrais pas une personne qui ne se sentirait pas heureuse d'être passée à côté d'un handicap. Et je crois que ce rejet du handicap pour soi fait partie intégrante de cette démarche qui consiste à appeler une personne handicapée par des noms "politiquement corrects" (ça rejoint aussi le point "regard des autres", pour moi). Bien entendu, je ne sais pas comment ça se passait au moyen-âge, mais ton analyse sur le regard et sur les craintes me semble pour le moins fondée.
Je dirais juste une dernière chose : être anormal, ça n'empêche pas d'être intégré dans la société. Un nomble est anormal, un Roi est anormal, pour le moyen âge. Pour notre époque, un homme politique est anormal.
Par contre, être invalide... Ton oncle est-il invalide, alors qu'il a trouvé du travail, alors qu'il s'est justement battu pour être valide ? (à la rigueur, je suis encore moins valide que lui...)
Est-ce judicieux de penser qu'à l'époque qui nous concerne, les personnes handicapées étaient considérées comme invalides pour la société, ou, au contraire, considérées comme valides et utilisables, "exploitables" pour la société ?
Je terminerai par dire que je ne me sens pas l'âme d'être ambassadeur des personnes handicapées, je parle pour moi, certes, mais j'évoque des concepts plus concrets qu'un simple témoignage

MAJ : tiens, pendant qu'on y est : un lien vers le travail d'une personne (un peu ambassadrice, elle) qui passe un peu sa vie à former les professionnels au handicap, tu peux me dire ce que tu en penses en privé ?

<img src="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" alt="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" style="border:0" /> <span style="font-family: Engravers MT;">Vis fidei <a href="http://www.heraldique-europeenne.org" target="_blank"><img src="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" alt="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" style="border:0" /></a> In actis honor</span>
- floren d´asteneuz
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L'icono, j'en sais strictement rien... Mais je crois que ce serait une grave erreur de faire une recherche icono sans s'être imprégné des recherches en cour.
Je suis tombé sur ces références :
"Laharie Muriel, " Les infirmes au Moyen Âge (XIe-XVe s.) : approche iconographique ", dans O. Guyotjeannin (sous la direction de), Population et démographie au Moyen Âge, Paris, CTHS, 1995, p. 313-333."
Ca pourrait peut-être t'intéresser ?
Sinon, deux liens, hors icono :
Le premier issu du site de l'éducation nationale.
Le second issu du dictionnaire historique de la Suisse. (sourcé)
Je suis tombé sur ces références :
"Laharie Muriel, " Les infirmes au Moyen Âge (XIe-XVe s.) : approche iconographique ", dans O. Guyotjeannin (sous la direction de), Population et démographie au Moyen Âge, Paris, CTHS, 1995, p. 313-333."
Ca pourrait peut-être t'intéresser ?
Sinon, deux liens, hors icono :
Le premier issu du site de l'éducation nationale.
Le second issu du dictionnaire historique de la Suisse. (sourcé)
<img src="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" alt="http://pic.aceboard.net/img/12392/4236/1172580252.gif" style="border:0" /> <span style="font-family: Engravers MT;">Vis fidei <a href="http://www.heraldique-europeenne.org" target="_blank"><img src="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" alt="http://img85.imageshack.us/img85/1329/a ... 100qd9.gif" style="border:0" /></a> In actis honor</span>
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Médecin enseignant
Amiens, 1447
Le Livre des propriétés des choses, Barthélémy l'Anglais. Paris
(Amiens, B.m., ms. 0399, f. 035v, 399)
Miniature au début du livre 5 sur les parties du corps. Médecin traitant des remèdes ou en prescrivant à des infirmes.
<img src="http://pic.aceboard.net/img/12392/5879/1173084791.png" alt="http://pic.aceboard.net/img/12392/5879/1173084791.png" style="border:0" />
Chacun de nous a besoin d'une quête, l'homme qui n'en poursuit pas est perdu à lui même.
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- cassetrogne
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- Contact :
XVII° et non XVIII° donc.
Autant pour moi !
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Cassetrogne, Ménestrier aux Coquillards de Villon
http://www.coquillards-de-villon.com
http://coquillards.leforum.eu
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