caillou a dit : pour le décliqueteur, "y a surtout un cayoux dans mon "mini et pas solide" couillard, j'aimerais savoir si des arbre couper resament dans une foret peuvent servir pour faire un beau couillard!!!( j'ai une foret pas trop loin un bon velo qui a des mauvais souvenir contre des camion qui respecte pas les priorité sur les rond poing

(les maraud*) et une bonne tronçonneuse (et le propriétaire de la foret ma autoriser a ramasser du petit bois ^^ mais hors des période de chasse...
Ouaip... Ben il ne risque pas de t'apprécier le proprio qui t'autorise à prendre du "petit bois" et que tu désirs fabriquer un couillard. Il te faudrait au moins une poutrelle d'un bon 30 cm (entre 10-12 pouces) et de 3 m de hauteur pour le mât central ou le support de vergue, et trois autre pièces, variant d'au moins 20-25 cm de diamètre pour la vergue, de longueur pouvant atteindre entre 15 pieds (4-5 m) et de deux autres d'au moins 5-6 pieds (1,5 à 2 m.). Sans parler des pièces de support.
Mais tu ne dois pas être sans savoir qu'un couillard, c'est utilisé qu'au XVe siècle ? Tu parles de donjon de bois, sous forme de motte finalement, et vise un engin beaucoup plus avancé ? Et en soit, il serait plus simple et aisé de commencé par le début. Une pierrière ou une bricole même. Beaucoup moins demandant en bois et le proprio du boisé risque de moins vous en vouloir par la suite... Particulièrement s'il s'agit de votre premier engin à tir courbe. C'est comme tout, il est préférable de bien se faire la main avant de tomber sur de grands projets.
Reste qu'honnêtement, j'en ai pas construit de couillard, simplement une pierrière, une bricole et une participation à l'élaboration d'un grand trébuchet, puis 8 traits à poudre différents, mais de petits calibres.
Pour faire les planches sans huile de bras... Même avec une scierie portative on y use du pouvoir, à trimbaler les pièces, les tenir enlignée, etc. On n'a malheureusement rien sans efforts, particulièrement si on vise le moindre coût. C'est comme utiliser les résidus de délignages, les partie extérieur (avec l'écorce, qu'on appel "les croutes" par ici) rejettées à la scierie.
Vraiment pas solide et probablement "NON SOURCÉE" comme matériaux et à éviter pour une construction sérieuse. Dans les fait, cette partie est totalement éclatée, réduite en coppaux lors de l'équarissage des pièces, on coupe les planches à même les billots équarrie, à l'aide d'une scie-de-long. On voit apparaître ce type de planche avec les scierie hydroliques, du XVIe-XVIIe en montant. Par ici, les scierie donne ces résidus de coupes, heureux de s'en défaire sans avoir à payer pour les faire passer à l'insinérateur municipal (pas très bon pour les feux de foyers... Aucune utilité en constructions, ni en transformation en papier à cause de l'écorce, etc.).
Le Décliqueteur