Si pouviez éclairer ma lanterne, ça m'aiderait bien (mais je ne peindrai sans doute pas le coffret au sang

Modérateur : L'équipe des gentils modos
je trouve cette phrase aussi vide de sens et idiote que son auteur a du le penser mais dans un autre sens : ne peut-on l'immaginer profitant de l'abbatage du boeuf pour faire sa peinture, ou récuperer les pigments. Ou en ville aller à l'abattoir chercher ce qui lui est nécessaire."Je tiens à m'attaquer dès maintenant à un mythe très tenace, celui de la peinture au sang de boeuf. Peut-on imaginer un fermier tuant un boeuf chaque fois qu'il désirait peindre une armoire? L'erreur vient tout simplement du fait que la couleur brun-rouge, obtenue avec les terres d'ocre rouge, était souvent identifiée dans les contrats anciens comme "couleur sang-de-boeuf""
C'est un manuscrit en bien piteux état, découvert récemment en fouillant de vieilles archives de famille. Quelques indices laissent à penser qu'il a appartenu à la bonne d'un curé, ou d'un chanoine, qui exerça ses talents du côté de Nancy. Pas de titre ni de nom d'auteur, mais manifestement certaines parties du manuscrit montrent que l'auteur n'est autre que le curé lui même. Par contre, à la dernière page, une date .....1861
http://membres.multimania.fr/gwquark/mastics.htmMastic impénétrable à l'eau.
Éteignez de la chaux vive dans du sang de boeuf au lieu d’eau, prenez ensuite de la tuile que vous pilez et tamisez. Mêlez cette poussière au premier mélange jusqu’à consistance du mortier; servez-vous ensuite de ce mastic. Il sèche vite et devient si dur qu’il faut de l’acier trempé pour le démolir. Si on veut en enduire un endroit humide, il faut l’y assujettir quelques jours avec des planches.