Saint Denis!!! a dit : Au fait, pourquoi notre maille moderne, rivetée serait faiblarde?
Parce que l'acier, trop dur, se casse plus vite que le fer, plus tendre, qui se déforme et absorbe mieux le choc (Pierre Al y *faisait allusion plus haut)
Modérateur : L'équipe des gentils modos
Saint Denis!!! a dit : Au fait, pourquoi notre maille moderne, rivetée serait faiblarde?
medieviste a dit :
Parce que l'acier, trop dur, se casse plus vite que le fer, plus tendre, qui se déforme et absorbe mieux le choc (Pierre Al y *faisait allusion plus haut)
Smaragde a dit :
Un non-sens et un mythe.
En quel honneur une flèche prenant un chemin plus long aurait plus d'impact?
Smaragde a dit :
Un non-sens et un mythe.
En quel honneur une flèche prenant un chemin plus long aurait plus d'impact?
Il n'a pas tout à fait tort mais sur les longues portées seulement pour imprimer à la fléche une trajectoire en cloche...medieviste a écrit :Smaragde a dit :
Un non-sens et un mythe.
En quel honneur une flèche prenant un chemin plus long aurait plus d'impact?
Merci Smaragde ! Tu viens de corriger une erreur que j'avais enracinée dans la tête de longue date.. Mes premiers pas dans le milieu du tir à l'arc, notamment le long bow, ont été jonchés de ces bêtises selon lesquelles les "spécialistes" affirmaient que le tir en cloche avait bien plus de puissance que le tir direct car la flèche emmagasinait l'énergie. C'était entr'autres un archers des Guerriers d'Avalon qui me disait ça à l'époque.
C'est vrai que rien n'est certain, c'est simplement ce que décrit Hendrik Conscience dans son livre " Le lion de Flandres, la bataille des éperons d'or ". Après, je ne sais pas comment il s'était documenté mais j'aimerais en savoir plus aussi.renaud a écrit :Pour la forge de goedendag sur les campements, je ne pense pas.
Et contrairement à ce que l'on pense, je peux dire que ce n'est pas si difficile que ça. C'est juste une question d'entrainement avec un même arc et des flèches de même poids.le furet a écrit : Bref, tout le savoir-faire d'un archer, c'est de savoir instinctivement pour quelle hausse opter en jugeant de la distance à la cible indépendamment mais simultanément à la visée. En gros, un bon archer ça s'entraîne comme un bon pétanqueur et la gravité corrige la puissance d'impact de la flèche ! Il doit être finaud et bien entraîné sur de tels tirs "d'artillerie".