Bougies
Modérateur : L'équipe des gentils modos
- le grand faucheur
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il me semble avoir vu sur des fotos des francs compaings en faire, alor j'ais une question... mettez vous seulement des la cire d'abeille? et sinon quel est votre recette et votre technique etc...
per deum et ferrum obtinui!
true and sure, ad metam diriget deus et recte colineo!
<img src="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" alt="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" style="border:0" />
!BBB!
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- rolland de glabbecke
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Ha, non, c'est pas nous !
Désolé .. nous les bougies, on ne fait que les brûler !
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Francs Compaings Brabançons : le Brabant Médiéval est une passion et doit le rester ! C'est comme çà ! LEVE BRABANT !
Illustre et indéfectible membre cofondateur des M2CHANTS ! Fuyez, courez, geignez... ou pas.
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- De Heer van Liere
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Faut aller voir l'Hermine ! Il ont des ciriers...

Ecce Brabantorum Dux militiae, leo dictus et Deus armorum !
Les Francs Compaings Brabançons, reconstitution historique du Brabant Ducal.
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- le grand faucheur
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aller voir peut être pas mais je vais les contacter oui... merci!
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en bougie, il y a l'histo classique de cire d'abeille.... boigie réalisée par trempages successifs de la mèche jusque à obtention de la bonne épaisseur voulue....
Il y avait aussi les chandelles de suif, soit de graisse de mouton, que le parfum, en brulant n'est pas aussi délicat que la cire d'abeille (réservée aux riches)
Pour le suif, j'ai pas la recette, elle doit circuler dans un antique Larousse d'économie ménagère de 1800 que ce serait une bonne idée que j'y fasse une exploration de caisse pour le retrouver et une saine lecture....
Il y avait aussi les chandelles de suif, soit de graisse de mouton, que le parfum, en brulant n'est pas aussi délicat que la cire d'abeille (réservée aux riches)
Pour le suif, j'ai pas la recette, elle doit circuler dans un antique Larousse d'économie ménagère de 1800 que ce serait une bonne idée que j'y fasse une exploration de caisse pour le retrouver et une saine lecture....
La bougie a été inventée au milieu du XIXe siècle, à la différence de son ancêtre la chandelle, qui remonte au moins vers 3000 ans avant J.C.
Histoire : Durant des siècles, le jonc a été utilisé pour faire des chandelles. Fendu avec précaution pour ne pas en abîmer la moelle, il était trempé dans de la graisse végétale ou animale qu’on laissait ensuite durcir. On le faisait brûler dans des brûle-joncs. En Occident, à partir du Moyen-Âge la chandelle rivalise avec la lampe à huile. Cette dernière a l’inconvénient de réclamer une attention constante : il faut la remplir régulièrement, couper et remonter la mèche qui charbonne, nettoyer l’huile qui coule. La chandelle, seulement constituée d’une mèche entourée de suif de bœuf ou de mouton, est plus pratique sans être excessivement chère (mais elle est taxée et l’huile reste plus économique). Plus de liquide qui se renverse, de flamme à ajuster, de réservoir à remplir. Mais le suif coule et graisse les doigts, la flamme demeure jaune et fumeuse, il faut toujours entrenir la mèche qui finit par charbonner.
La noblesse et le clergé s’éclairaient avec des cierges en cire d’abeille et laissaient au peuple l’éclairage au suif. Le cierge de cire conserve les avantages de la chandelle et en élimine les défauts. Mais son prix en limite la diffusion dans les plus hautes sphères de la société.
Le mot bougie n’est apparu dans la langue française qu’au XIVe siècle, tiré de Bugaya (« Bougie »), une ville d’Algérie qui fournissait une grande quantité de cire pour la fabrication des chandelles. La bougie comme telle fut développée au milieu du XIXe siècle et se distingue de la chandelle à cause de sa matière première et par l’utilisation de mèches de coton tressé. Le tressage permet à la mèche de se courber et de se consumer : inutile alors de la moucher. La misérable chandelle disparaît alors, et la cire perd de son intérêt.
En 1783, le chimiste suédois Carl Scheele (1742-1786) avait, dans le cadre de ses recherches sur le savon, fait bouillir de l’huile d’olive avec de l’oxyde de plomb et obtenu une substance au goût sucré qu’il avait appelée Ölsüss et que l’on connaît maintenant sous le nom de glycérine. En 1823, le chimiste français Michel-Eugène Chevreul (1786-1889), poussé par cette découverte, découvrit que ce ne sont pas les corps gras qui se combinent avec l’alcali pour former le savon, mais qu’ils sont d’abord décomposés en acides gras et en glycérine (ou glycérol). Chevreul est ainsi à l’origine de la théorie de la saponification. Ces deux éléments seront à la base d’une industrialisation massive de la bougie et du savon. Désormais, savonniers et ciriers appartiennent à la même corporation, dont Nantes devient la capitale. Aujourd’hui encore, 80 % de la production française de bougies provient de la région nantaise.
(Wikipedia)
Histoire : Durant des siècles, le jonc a été utilisé pour faire des chandelles. Fendu avec précaution pour ne pas en abîmer la moelle, il était trempé dans de la graisse végétale ou animale qu’on laissait ensuite durcir. On le faisait brûler dans des brûle-joncs. En Occident, à partir du Moyen-Âge la chandelle rivalise avec la lampe à huile. Cette dernière a l’inconvénient de réclamer une attention constante : il faut la remplir régulièrement, couper et remonter la mèche qui charbonne, nettoyer l’huile qui coule. La chandelle, seulement constituée d’une mèche entourée de suif de bœuf ou de mouton, est plus pratique sans être excessivement chère (mais elle est taxée et l’huile reste plus économique). Plus de liquide qui se renverse, de flamme à ajuster, de réservoir à remplir. Mais le suif coule et graisse les doigts, la flamme demeure jaune et fumeuse, il faut toujours entrenir la mèche qui finit par charbonner.
La noblesse et le clergé s’éclairaient avec des cierges en cire d’abeille et laissaient au peuple l’éclairage au suif. Le cierge de cire conserve les avantages de la chandelle et en élimine les défauts. Mais son prix en limite la diffusion dans les plus hautes sphères de la société.
Le mot bougie n’est apparu dans la langue française qu’au XIVe siècle, tiré de Bugaya (« Bougie »), une ville d’Algérie qui fournissait une grande quantité de cire pour la fabrication des chandelles. La bougie comme telle fut développée au milieu du XIXe siècle et se distingue de la chandelle à cause de sa matière première et par l’utilisation de mèches de coton tressé. Le tressage permet à la mèche de se courber et de se consumer : inutile alors de la moucher. La misérable chandelle disparaît alors, et la cire perd de son intérêt.
En 1783, le chimiste suédois Carl Scheele (1742-1786) avait, dans le cadre de ses recherches sur le savon, fait bouillir de l’huile d’olive avec de l’oxyde de plomb et obtenu une substance au goût sucré qu’il avait appelée Ölsüss et que l’on connaît maintenant sous le nom de glycérine. En 1823, le chimiste français Michel-Eugène Chevreul (1786-1889), poussé par cette découverte, découvrit que ce ne sont pas les corps gras qui se combinent avec l’alcali pour former le savon, mais qu’ils sont d’abord décomposés en acides gras et en glycérine (ou glycérol). Chevreul est ainsi à l’origine de la théorie de la saponification. Ces deux éléments seront à la base d’une industrialisation massive de la bougie et du savon. Désormais, savonniers et ciriers appartiennent à la même corporation, dont Nantes devient la capitale. Aujourd’hui encore, 80 % de la production française de bougies provient de la région nantaise.
(Wikipedia)
<a href="http://www.casimages.com" target="_blank"><img src="http://nsa10.casimages.com/img/2009/11/ ... 475117.jpg" alt="http://nsa10.casimages.com/img/2009/11/ ... 475117.jpg" style="border:0" /></a>
Bien le merci Bilbaron, ton message est riche en renseignements.
Qu'est-ce que l'on peut apprendre sur ce forum, quand même!!!!!
Qu'est-ce que l'on peut apprendre sur ce forum, quand même!!!!!
Compaing, Commère, lève donc le verre.
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Euh!! on peut essayer, mais on est bien aussi tous serrés autour d'un feu[img]smile/beer.gif[/img]
Compaing, Commère, lève donc le verre.
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