Le furet a dit : Elle est intéressante, très belle, et si on devait être strictement histo sur la fixité des forges, on se passerait de toute activité de forge en camp dans le hobby alors ?
Je n'ai pas dis qu'elle n'était pas belle, mais j'ai lu ici des attaques en règle pour des détails plus insignifiant (tel que la caisse à outil de Tournevase par exemple), je dis seulement que quitte à faire une forge pourquoi le faire en bois, je ne parle pas du soufflet.
Au fait, je me souviens d'une conférence à Bordeaux à la société d'archéo parlant de "ferreux et boi(s)(t)eux" qui accompagnaient les armées en campagne au XIVéme pour assembler les machines de guerres lors des siéges entre autres. Comment faisaient-ils ? Il leur fallait systématiquement construire une forge en dur avant de se mettre à bosser ?
Oui, sommaire (un trou dans le sol par exemple) ou simplement la réquisition de la forge du village le plus proche. En plus quand la machine est "montée" le travail est fini, pour le cerclage des roues, on ne construit pas de forge, le travail se fait dans un brasier à même le sol.
Doit-on en conclure qu'aucune réparation d'arme ou d'armure ne peut se faire au bivouac ?
Pour l'écrouissage ce n'est pas nécessaire, pour les travaux plus lourd, voir plus haut (le village).
Mais ceci je le redis, n'a rien à voir avec le travail de son ami, je réagissais surtout au fait de faire des forges en bois et très souvent avec des roues, cette « mode » est si bien entrée dans les habitudes que c’est devenue presque incontournable et admis comme une forge médiévale.