Oui, j'avais également remarqué que ça ne collait pas...
Ceci dit ce que j'avais lu provenait d'une des règles du Temple... A mon avis plus fiable que des iconos (encore que...)
Bref, flou artistique total.
Frère clerc Hospitalier fin XIIème - mise à jour
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- medieviste
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Reinhardt von Rappolstein
- oriabel
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Et que fais-tu de la capuche ?Pierre de Mirmande a dit :
Il est évident que je n'ai pas de preuve formelle du port simultané mais lorsqu'on lit les textes avec cette idée, il semblerait exister une cohérence.
Pour le reste je n'interprète pas le texte de la même manière que toi...Pour moi, il est âutorisé d'être dans l'eglise avec simplement la coiffe de tissu. Le reste du temps, la capuche doit être relevée.
Quand à ton dernier texte, selon moi il présente deux cas séparés et non liés. Le premier quand un frère ôte son chapel de bonnet et dans le second quand il reste en coiffe sans raison.
Les Hospitaliers ont porté plusieurs types de coiffes, pas un unique modèle...pas de situation figée donc !
Prez, Lumière des Lumières, Sancta Domina, Muse du Savoir Médiéval et Chantre de la Reconstitution, Katochka !
- Pierre de Mirmande
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Oriabel, j'ai bien en tête qu'il n'y a pas de situation figée !
Et les exemples que j'ai pris sont certes des situations différentes mais le cadre reste le même.
Il est essentiel pour comprendre cette idée de voir sous les termes "coife blanche" et "coife" un seul et unique objet : la calotte.
Et pour le chapeau de feutre : "chapell de bonnet", "chapeau de bonet"...
En ce qui concerne les termes "covrechié" et "cuevrechief" que j'ai relié à la calotte dans un autre message, ils pourraient tout à fait avoir une autre fonction : celle d'un bonnet de nuit par exemple. Et ces deux termes pourraient tout aussi bien indiquer des objets différents... Mais quoi qu'ils indiquent, ça ne change rien à l'histoire.
Et si je fais abstraction de la capuche (supe), c'est parce que je ne l'ai pas retenu comme élément prépondérant.
Et les exemples que j'ai pris sont certes des situations différentes mais le cadre reste le même.
Il est essentiel pour comprendre cette idée de voir sous les termes "coife blanche" et "coife" un seul et unique objet : la calotte.
Et pour le chapeau de feutre : "chapell de bonnet", "chapeau de bonet"...
En ce qui concerne les termes "covrechié" et "cuevrechief" que j'ai relié à la calotte dans un autre message, ils pourraient tout à fait avoir une autre fonction : celle d'un bonnet de nuit par exemple. Et ces deux termes pourraient tout aussi bien indiquer des objets différents... Mais quoi qu'ils indiquent, ça ne change rien à l'histoire.
Et si je fais abstraction de la capuche (supe), c'est parce que je ne l'ai pas retenu comme élément prépondérant.
- Pierre de Mirmande
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Non ce n'est pas celle-ci. Celle dont je parle se trouve sur le portail royal je crois. C'est une femme et on y voit une ceinture similaire mais dont le système de liaison est bien visible.Bouchard a dit : Si c'est celle-là, elle dans notre article sur le site...
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J'ai du mal à comprendre ce terme et ce qu'il recouvre exactement. Les définitions que j'ai trouvé sont assez compliquées...Isarn a dit :
Le terme de clerc est cité dans la règle de l'ordre (concernant le port de l'habit blanc).
Ca peut être soit pour distinguer les clercs des militaires, soit pour signaler certains frères ayant une fonction particulière, comme le prêtre. A mon avis, plutôt la première hypothèse.
Pour cette tonsure, rien ne semble l'affirmer ou l'infirmer... D'après certaines réactions, ce petit dégagement crânien ne semble pas du tout emporter la faveur !Isarn a dit :
Vous parlez de tonsure : il n'est absolument pas acquis pour moi que les Hospitaliers soient tonsurés. Rien dans les textes en tous cas ...
A ce sujet : le rite de la tonsure s'est institutionnalisé et il est devenu obligatoire en 1031. Cette obligation a été supprimée seulement en 1972. Mais savez-vous si dans cette période tous les ordres imposaient la tonsure ??
