On est bien d'accord :Rolland de Glabbecke a dit :
Oui mais ... chez les XIIImistes, peut-être pas ... mais chez leurs ancêtres, la question ne se pose pas.
Tout dépend de ce qu'on recherche : faire joujou avec des bouts de métal entre amis ? Ou faire de la reconstitution un tantinet sérieuse ? La question de la combinaison des deux est amplement posée. Faut savoir ce qu'on veut aussi, bien que je ne remette pas du tout en cause les question sécuritaires des ante-1350 (il faut rester raisonnable, et on s'entend là-dessus).
Pour reprendre l'exemple des saxons ou viking, je suis entièrement d'accord qu'il est difficile de concilier reconstitution et sécurité maximum, d'où la tolérance de certaines ajouts "modernes". Mais la question ne se pose pas pour la fin XIIIe ou le début XIVe... c'est là que je voulais en venir. Pour cette période, si l'on cherche la cohérence, ET la sécurité : le pari est gagné d'avance !
Tout est question de démarche encore une fois.
Combien de fois n'ai-je pas croisé des gens qui rembourraient leurs plates XVe avec de la mousse pour mieux protéger ? alors qu'une simple démarche de reconstitution avec du bon matériel de base sourcé est suffisante ?
Un pas d'armes "interne" proposés dans le cadre d'un campement, n'est pas la même chose (car les objectifs poursuivis sont différents), qu'une mélée de reconstitution ou qu'un tournoi sportif (qui peut trés bien être organisée en comité réduit sans public,... même si pour le moment ce n'est pas l'option la plus couramment choisie).
Il peut y avoir des différences sensibles entre la démarche "sportive" et la démarche de "reconstitution", comme entre la mélée et le pas d'armes,... Le but est d'avoir l'équipement adapté à sa démarche et à son niveau de risques "acceptés",...
Et je suis d'accord, qui peut le plus, peut le moins,....