Armure de cuir au moyen-âge.
Modérateur : L'équipe des gentils modos
- le grand faucheur
- Messages : 4906
- Enregistré le : mar. janv. 04, 2005 12:00 am
bah euh.... même les brassar, et les épaulières eeuh......
per deum et ferrum obtinui!
true and sure, ad metam diriget deus et recte colineo!
<img src="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" alt="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" style="border:0" />
!BBB!
true and sure, ad metam diriget deus et recte colineo!
<img src="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" alt="http://img223.imageshack.us/img223/3533 ... 309zp9.jpg" style="border:0" />
!BBB!
- christofle le forestier
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. août 04, 2007 11:00 pm
J'ai lu ça sur les protections des chevaliers fin XIIIème début XIVème en alsace.
La cotte de plaques
Par ailleurs, deux nouvelles protections de cuir du chevalier apparaissent :
en premier lieu, la « cotte de plaques » qui est une sorte de cotte d’armes faite de
cuir, non blasonnée, mais renforcée à l’intérieur du vêtement de plaques de fer
ou de cuir (il est difficile de déterminer ce matériau) rivetées au vêtement au
niveau de la poitrine.
Deux aspects coexistent : des rectangles de petites tailles séparés entre eux
par un espace pour conserver une plus grande souplesse113 ou alors des plaques
rectangulaires entourant le torse et se chevauchant, à la manière de la lorica
segmentata des romains de la colonne Trajane ou celles exhumées du site de
Wisby, dont un exemplaire archéologique datant du XIVe siècle est visible à
Zurich114 : cette forme de cotte de plaques apparaît dès le milieu du XIIIe siècle
ainsi que nous le voyons sur la statue de Saint Maurice dans la cathédrale de
Magdebourg(115), et sa présence est attestée en Alsace dès la fin du XIIIe siècle sur
le gisant de Conrad Wernher de Hattstatt(116) bien qu’elle soit difficile à déceler.
Cette nouvelle protection est apparue pour faire face, non aux archers ou
arbalétriers(117), sans quoi elle serait apparue dès le XIIe siècle, mais aux armes de
chocs et surtout aux armes d’hast de chocs, telle la doloire, la berdiche, la vouge,
ou encore le goedendac, ou les masses d’armes, haches à une ou deux mains et
les fléaux.
Cette armure étant portée par dessus le haubert et le gambeson, mais sous la
cotte d’armes, elle est donc quasiment impossible à déceler(118).
Les ailettes
Enfin, dernière innovation : les ailettes. Il s’agit de rectangles ou de disques
de cuir bouilli, parfois de bois, fixés sur les épaules pour renforcer le corps à cet
endroit, en déviant les coups qui auraient déjà ripé sur le heaume. Ces
protections apparaissent dans les années 1280-1290, mais leur présence enAlsace n’est clairement attestée qu’au début du XIVe siècle(119).
113 Corpus, p. 120.
114 Corpus, p. 109.
115 Corpus, p. 118.
116 Corpus, p. 121.
117 Contrairement à l'avis de F. Lot, L'art militaire et les armées au moyen Age, en Europe et au Proche-Orient, t.
1, Paris, 1946, PP. 314 et 315.
118 Sauf lorsqu'elle est représentée portée sans cotte d'armes par-dessus, comme sur une enluminure du Codex
Manesse, p. 65 du Corpus.
Et sur les protections des miliciens de la même époque, même endroit :
Le gambeson et la broigne
Il s’agit des protections les plus courantes pour la piétaille, car les plus
faciles à fabriquer soi-même ou à acheter ; ainsi les combattants pauvres ont-ils
souvent pour seule protection(183) le gambeson de cuir ou de tissu, ainsi que
l’apprend le récit de Guillaume Guiart(184). Mais il est couramment admis aussi
que les piétons portent des sortes de cottes de cuir, avec ou sans manches, parfois
renforcées de clous ou d’autres plaques de cuir, et répondant le plus souvent au
nom de broigne(185). Cette protection est cependant difficile à voir, puisque les
illustrations d’époque montrent principalement des chevaliers et des seigneurs au
combat, les gens de basse condition apportant peu aux spectateurs de l’époque.
Les rares illustrations de soldats en notre possession tendent à montrer des
gambesons pour toutes les protections du corps hors le casque ; la broigne de
cuir est absente des illustrations, mais nous accepterons son existence, admise
également par nombre d’historiens, existence décelable dans certains textes
parlant de guerriers pauvres vêtus de casaques de peau.
183 N. De Wailly, Histoire de Saint Louis écrite par son compagnon d’armes le Sire de Joinville, Paris, Jean de
Bonnot, 1997, p. 133 : « Nous étions tout couverts des traits qui n’atteignaient pas les sergents. Or il advint que je
trouvai une veste rembourrée d’étoupes à un Sarrasin : je tournais le côté fendu vers moi, et fis un écu de la veste,
qui me rendit grand service ; car je ne fus blessé de leurs traits qu’en cinq endroits, et mon roussin en quinze
endroits. » Ainsi, un gambeson, enroulé autour d’un bras, certes recouvert de mailles, arrête-t-il presque toutes les
flèches tombant sur le sire de Joinville. Cela dénote tout de même une certaine efficacité des gambesons.
184 T. Eber, Armes et armées dans la Branche des Royaux Lignages de Guillaume Guiart, mémoire de maîtrise
dirigé par M. Mehl, Strasbourg, 1994, p. 81. Guiart nous apprend que ces gambesons supportent mal un passage
forcé dans une rivière, et que le gambeson garantirait une très relative protection.
185 Ici encore, il s'agit d'une tendance générale de vocabulaire, le terme broigne ou brogne pouvant sans
problèmes désigner divers types d'armures n'ayant parfois aucun rapport entre elles, à l'époque comme de nos
jours ; il s'agit simplement ici d'une tendance majoritaire parmi les historiens de l'armement.
Cette étude (L’Armement et l’Art du Combat en
Alsace et Régions Voisines
aux XIIe et XIIIe siècles de Olivier Binder) semble être accepté et reconnue.
J'ose donc penser que quelques protections de cuir début XIV, peut-être seulement alors torse et épaulettes, seraient historiques.
La cotte de plaques
Par ailleurs, deux nouvelles protections de cuir du chevalier apparaissent :
en premier lieu, la « cotte de plaques » qui est une sorte de cotte d’armes faite de
cuir, non blasonnée, mais renforcée à l’intérieur du vêtement de plaques de fer
ou de cuir (il est difficile de déterminer ce matériau) rivetées au vêtement au
niveau de la poitrine.
Deux aspects coexistent : des rectangles de petites tailles séparés entre eux
par un espace pour conserver une plus grande souplesse113 ou alors des plaques
rectangulaires entourant le torse et se chevauchant, à la manière de la lorica
segmentata des romains de la colonne Trajane ou celles exhumées du site de
Wisby, dont un exemplaire archéologique datant du XIVe siècle est visible à
Zurich114 : cette forme de cotte de plaques apparaît dès le milieu du XIIIe siècle
ainsi que nous le voyons sur la statue de Saint Maurice dans la cathédrale de
Magdebourg(115), et sa présence est attestée en Alsace dès la fin du XIIIe siècle sur
le gisant de Conrad Wernher de Hattstatt(116) bien qu’elle soit difficile à déceler.
Cette nouvelle protection est apparue pour faire face, non aux archers ou
arbalétriers(117), sans quoi elle serait apparue dès le XIIe siècle, mais aux armes de
chocs et surtout aux armes d’hast de chocs, telle la doloire, la berdiche, la vouge,
ou encore le goedendac, ou les masses d’armes, haches à une ou deux mains et
les fléaux.
Cette armure étant portée par dessus le haubert et le gambeson, mais sous la
cotte d’armes, elle est donc quasiment impossible à déceler(118).
Les ailettes
Enfin, dernière innovation : les ailettes. Il s’agit de rectangles ou de disques
de cuir bouilli, parfois de bois, fixés sur les épaules pour renforcer le corps à cet
endroit, en déviant les coups qui auraient déjà ripé sur le heaume. Ces
protections apparaissent dans les années 1280-1290, mais leur présence enAlsace n’est clairement attestée qu’au début du XIVe siècle(119).
113 Corpus, p. 120.
114 Corpus, p. 109.
115 Corpus, p. 118.
116 Corpus, p. 121.
117 Contrairement à l'avis de F. Lot, L'art militaire et les armées au moyen Age, en Europe et au Proche-Orient, t.
1, Paris, 1946, PP. 314 et 315.
118 Sauf lorsqu'elle est représentée portée sans cotte d'armes par-dessus, comme sur une enluminure du Codex
Manesse, p. 65 du Corpus.
Et sur les protections des miliciens de la même époque, même endroit :
Le gambeson et la broigne
Il s’agit des protections les plus courantes pour la piétaille, car les plus
faciles à fabriquer soi-même ou à acheter ; ainsi les combattants pauvres ont-ils
souvent pour seule protection(183) le gambeson de cuir ou de tissu, ainsi que
l’apprend le récit de Guillaume Guiart(184). Mais il est couramment admis aussi
que les piétons portent des sortes de cottes de cuir, avec ou sans manches, parfois
renforcées de clous ou d’autres plaques de cuir, et répondant le plus souvent au
nom de broigne(185). Cette protection est cependant difficile à voir, puisque les
illustrations d’époque montrent principalement des chevaliers et des seigneurs au
combat, les gens de basse condition apportant peu aux spectateurs de l’époque.
Les rares illustrations de soldats en notre possession tendent à montrer des
gambesons pour toutes les protections du corps hors le casque ; la broigne de
cuir est absente des illustrations, mais nous accepterons son existence, admise
également par nombre d’historiens, existence décelable dans certains textes
parlant de guerriers pauvres vêtus de casaques de peau.
183 N. De Wailly, Histoire de Saint Louis écrite par son compagnon d’armes le Sire de Joinville, Paris, Jean de
Bonnot, 1997, p. 133 : « Nous étions tout couverts des traits qui n’atteignaient pas les sergents. Or il advint que je
trouvai une veste rembourrée d’étoupes à un Sarrasin : je tournais le côté fendu vers moi, et fis un écu de la veste,
qui me rendit grand service ; car je ne fus blessé de leurs traits qu’en cinq endroits, et mon roussin en quinze
endroits. » Ainsi, un gambeson, enroulé autour d’un bras, certes recouvert de mailles, arrête-t-il presque toutes les
flèches tombant sur le sire de Joinville. Cela dénote tout de même une certaine efficacité des gambesons.
184 T. Eber, Armes et armées dans la Branche des Royaux Lignages de Guillaume Guiart, mémoire de maîtrise
dirigé par M. Mehl, Strasbourg, 1994, p. 81. Guiart nous apprend que ces gambesons supportent mal un passage
forcé dans une rivière, et que le gambeson garantirait une très relative protection.
185 Ici encore, il s'agit d'une tendance générale de vocabulaire, le terme broigne ou brogne pouvant sans
problèmes désigner divers types d'armures n'ayant parfois aucun rapport entre elles, à l'époque comme de nos
jours ; il s'agit simplement ici d'une tendance majoritaire parmi les historiens de l'armement.
Cette étude (L’Armement et l’Art du Combat en
Alsace et Régions Voisines
aux XIIe et XIIIe siècles de Olivier Binder) semble être accepté et reconnue.
J'ose donc penser que quelques protections de cuir début XIV, peut-être seulement alors torse et épaulettes, seraient historiques.
- Philippe de Sombreval
- Messages : 5416
- Enregistré le : lun. août 01, 2005 11:00 pm
- Localisation : Arlon
Tout oux chevalier Christophe... Il n'y a pas d'épualettes à proprement parler au début 14ème.Si on se réfère à l'équipement de renaud de Trie lors de la bataille des éperons d'or à savoir en 1302:
Renaud de trie était vêtu d'un gambison, recouvert de son haubert. à savoir cotte de maille à manche longue avec. Ce m^me haurt recouvert de sa cotte d'arme.
Ses jambes étaient protégée par une paire de chausses de maille, recouvertes par des cuissots gambisé (gambison de cuisses), de genouillère d'acier (de forme assez simple) et de grèves d'acier (tout aussi simple).
Sa tête était protégée par un cal de lin recouvert d'un camail sur lequel se posait la cervelière d'acier; Enfin venait le heaume modèle sugarloaf dont la forme fait penser à un obus. Il portait aussi une paire d'ailettes.
Sinon, il faut que je cfouille un peu les entrailles du forum, mais j'ai cru voir un allemand avec un équipement de chevalier du début 14ème...
Renaud de trie était vêtu d'un gambison, recouvert de son haubert. à savoir cotte de maille à manche longue avec. Ce m^me haurt recouvert de sa cotte d'arme.
Ses jambes étaient protégée par une paire de chausses de maille, recouvertes par des cuissots gambisé (gambison de cuisses), de genouillère d'acier (de forme assez simple) et de grèves d'acier (tout aussi simple).
Sa tête était protégée par un cal de lin recouvert d'un camail sur lequel se posait la cervelière d'acier; Enfin venait le heaume modèle sugarloaf dont la forme fait penser à un obus. Il portait aussi une paire d'ailettes.
Sinon, il faut que je cfouille un peu les entrailles du forum, mais j'ai cru voir un allemand avec un équipement de chevalier du début 14ème...
Me problème du début XIV c'est qu'il s'agit d'une période de transition riche en modifications de l'équipement.Sur 5ans on peut ou pas porter telle ou telle pièce d'armure.
Par exemple: les gantelets. J'ai (grâce à Rolland de Glabecke) une source textuelle pour des gantelets qui date de la toute fin du XIII (1296 de mémoire)mais les premières iconos datent quant à elles de 1320-30 et encore c'est souvent marginal et élitiste.
Pareil pour le heaume du type sugarloaf on sait qu'il a existé mais la plupart des enluminures montrent des grands heaumes...
Les genouillères sont présentent dés la seconde moitié du XIII. Les protèges tibias sont toujours portés par des cavaliers(=chevaliers) et pour les coudières on a des sources aussi.
Quant à la cotte de plate de St Maurice c'est quasi une exception son équipement est vraiment atypique....
Voili voilà c'est dans l'ensemble ce que j'ai put/cru apprendre sur ce forum. M
aintenant à toi de lire aussi y'a pas mal de topics sur ce sujet cherche
(édité pour la protection de la langue française)
Par exemple: les gantelets. J'ai (grâce à Rolland de Glabecke) une source textuelle pour des gantelets qui date de la toute fin du XIII (1296 de mémoire)mais les premières iconos datent quant à elles de 1320-30 et encore c'est souvent marginal et élitiste.
Pareil pour le heaume du type sugarloaf on sait qu'il a existé mais la plupart des enluminures montrent des grands heaumes...
Les genouillères sont présentent dés la seconde moitié du XIII. Les protèges tibias sont toujours portés par des cavaliers(=chevaliers) et pour les coudières on a des sources aussi.
Quant à la cotte de plate de St Maurice c'est quasi une exception son équipement est vraiment atypique....
Voili voilà c'est dans l'ensemble ce que j'ai put/cru apprendre sur ce forum. M
aintenant à toi de lire aussi y'a pas mal de topics sur ce sujet cherche

(édité pour la protection de la langue française)
<img src="http://img118.imageshack.us/img118/6240 ... fanmp6.jpg" alt="http://img118.imageshack.us/img118/6240 ... fanmp6.jpg" style="border:0" />
Il n'y a rien de ce coté là...Philippe de Sombreval a dit : ps: voir aussi du coté de l'antiquité tardive, ce qui se faisait comme protection de torse en cuir...
<img src="http://img87.imageshack.us/img87/7269/b ... yi4zk2.jpg" alt="http://img87.imageshack.us/img87/7269/b ... yi4zk2.jpg" style="border:0" />
<a href="http://monsite.orange.fr/lesherculiani/index.jhtml" target="_blank">http://monsite.orange.fr/lesherculiani/index.jhtml</a>
Nouveau forum de l'Antiquité Tardive: <a href="http://schnucks0.free.fr/forum/index.php" target="_blank">http://schnucks0.free.fr/forum/index.php</a>
<a href="http://monsite.orange.fr/lesherculiani/index.jhtml" target="_blank">http://monsite.orange.fr/lesherculiani/index.jhtml</a>
Nouveau forum de l'Antiquité Tardive: <a href="http://schnucks0.free.fr/forum/index.php" target="_blank">http://schnucks0.free.fr/forum/index.php</a>
- smaragde
- Messages : 1413
- Enregistré le : dim. juil. 10, 2005 11:00 pm
- Localisation : Bruxelles
- Contact :
Pour les "broignes" en cuir clouté, il ne faut pas voir cela comme une "veste" de cuir avec des "clous" (souvent rivets) passant à travers.
Cela n'améliore en rien la protection.
Par contre, une telle forme pourrait représenter un gambison de cuir, dont les couches intérieures et extérieures sont fixées entre elles par ces rivets, souvent en un réseau qui forme au final des losanges (le rembourrage se tassant sur le segment joignant deux rivets).
Là les clous ont leur utilité: fixer l'ensemble, et c'est l'ensemble qui fournit la protection (mais ça fournirait la même protection si c'était tenu par de la couture plutôt que des rivets).
Cela n'améliore en rien la protection.
Par contre, une telle forme pourrait représenter un gambison de cuir, dont les couches intérieures et extérieures sont fixées entre elles par ces rivets, souvent en un réseau qui forme au final des losanges (le rembourrage se tassant sur le segment joignant deux rivets).
Là les clous ont leur utilité: fixer l'ensemble, et c'est l'ensemble qui fournit la protection (mais ça fournirait la même protection si c'était tenu par de la couture plutôt que des rivets).
Smaragde d'Antreloup,
Tissages à Cartes et Travail du Cuir (entre autres)
<a href="http://smaragde01.skyblog.com/" target="_blank">http://smaragde01.skyblog.com/</a>
Membre des Compagnons de Rougemont
<a href="http://www.rougemont.be/" target="_blank">http://www.rougemont.be/</a>
Déconneur devant l'éternel
<a href="http://lyr-ayegans.skyblog.com/" target="_blank">http://lyr-ayegans.skyblog.com/</a>
Tissages à Cartes et Travail du Cuir (entre autres)
<a href="http://smaragde01.skyblog.com/" target="_blank">http://smaragde01.skyblog.com/</a>
Membre des Compagnons de Rougemont
<a href="http://www.rougemont.be/" target="_blank">http://www.rougemont.be/</a>
Déconneur devant l'éternel
<a href="http://lyr-ayegans.skyblog.com/" target="_blank">http://lyr-ayegans.skyblog.com/</a>
- christofle le forestier
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. août 04, 2007 11:00 pm
Merci pour vos remarques instructives, je vais faire encore des recherches je pense... 

- christofle le forestier
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. août 04, 2007 11:00 pm
Après longue réflexion, je pense peut-être avancer dans le temps... me situer vers le début de la guerre de cent ans, mi XIVème siècle...
J'ai fait le dessin-là (lol, pas de moqueries ^^) ((c'est mon mode opératoire : dessin sur paint, dessin sur papier, plans, patrons, réalisation réelle...)
Qu'en pensez-vous :
Je pense que maintenant je dois m'interesser à avoir un casque plus historique...

(à gauche en civil, on s'en fout un peu, à droite tenue militaire, plus juste pour ce sujet ^^)
J'ai fait le dessin-là (lol, pas de moqueries ^^) ((c'est mon mode opératoire : dessin sur paint, dessin sur papier, plans, patrons, réalisation réelle...)
Qu'en pensez-vous :
Je pense que maintenant je dois m'interesser à avoir un casque plus historique...

(à gauche en civil, on s'en fout un peu, à droite tenue militaire, plus juste pour ce sujet ^^)
- Yvan de Tergate
- Messages : 3499
- Enregistré le : ven. août 27, 2004 11:00 pm
- Localisation : Rennes
Ben quoi, c'est vrai, le civil on s'en fout 
Militaire power !!!!
Ce que voulait probablement dire notre jeune ami c'est que nous sommes ici dans la rubrique "Costume militaire" et que donc, la discussion sur la partie civil n'a pas sa place ici... Oui, c'est sûrement cela que tu as voulu dire, hein Christophe ?

Militaire power !!!!
![panneau [img]smile/dejaout.gif[/img]](./images/smilies/dejaout.gif)
Ce que voulait probablement dire notre jeune ami c'est que nous sommes ici dans la rubrique "Costume militaire" et que donc, la discussion sur la partie civil n'a pas sa place ici... Oui, c'est sûrement cela que tu as voulu dire, hein Christophe ?

Les lances le Roi
Membre de Bouvines 1214
Membre de Bouvines 1214
- Philippe de Sombreval
- Messages : 5416
- Enregistré le : lun. août 01, 2005 11:00 pm
- Localisation : Arlon
Télécharge le roman d'Alexandre... tu peux le trouver sur la virtuathèque de Philippe Sallerin...Chevalier Christophe a dit : Après longue réflexion, je pense peut-être avancer dans le temps... me situer vers le début de la guerre de cent ans, mi XIVème siècle...
J'ai fait le dessin-là (lol, pas de moqueries ^^) ((c'est mon mode opératoire : dessin sur paint, dessin sur papier, plans, patrons, réalisation réelle...)
Qu'en pensez-vous :
Je pense que maintenant je dois m'interesser à avoir un casque plus historique...
(à gauche en civil, on s'en fout un peu, à droite tenue militaire, plus juste pour ce sujet ^^)
- christofle le forestier
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. août 04, 2007 11:00 pm
Lol, oui, je voulais dire par là que le dessin du civil n'a pas sa place ici, au coeur d'un sujet de protections militaires, donc "on s'en fout un peu" ^^
- Yvan de Tergate
- Messages : 3499
- Enregistré le : ven. août 27, 2004 11:00 pm
- Localisation : Rennes
Ouf, t'as eu chaud mon gars ! T'es passé à 2 doigts de la décapitation à la pelle. C'est très douloureux 

Les lances le Roi
Membre de Bouvines 1214
Membre de Bouvines 1214
- Philippe de Sombreval
- Messages : 5416
- Enregistré le : lun. août 01, 2005 11:00 pm
- Localisation : Arlon
non... ce que je veux dire c'est qu'avec le roman d'alexandre tu auras une bonne base ppour du civil et pour du militaire.
- christofle le forestier
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. août 04, 2007 11:00 pm
J'imagine, que c'est douloureux Yvan ^^
Je télécharge, je télécharge Philippe...
Je télécharge, je télécharge Philippe...
