Bonjour,
Pensez-vous qu'un mélange lin/coton à 45lin/55coton ou l'inverse est compatible avec la fabrication de gambisons, braies ou autre vetêments du MA.
Le 100% lin disponible à Pau est en blanc pur ou légerement écru de plus en petites quantités.
Le fil à coudre doit'il obligatoirement être de la même teinte que le tissu ou peut'on utiliser des teintes voire une couleur différente pour le fil.
Merci pour vos réponses.
Mélange lin et coton
Modérateur : L'équipe des gentils modos
Mouais, le problème du coton est assez complexe.
Quand j'ai fait ma première robe en coton en pensant que ça pouvait très bien être ramené d'Orient par les croisés, on m'a dit "mais non, malheureuse, en Orient, le coton, c'est du tissu à serpillères, on ne le ramène pas en Europe pour faire des jolies robes". Et puis dernièrement, on m'a dit que c'était un matériau précieux rapporté des croisades par les personnages aisés. Du coup, je sais plus trop quoi penser... Peut-être que ça dépend des périodes ?
Pour la couleur du tissu, tu peux toujours le teindre, ça, ce n'est pas un problème.
Quant au fil, je pense que c'est laissé à l'appréciation du couturier ou de la personne qui va porter le vêtement ?
Quand j'ai fait ma première robe en coton en pensant que ça pouvait très bien être ramené d'Orient par les croisés, on m'a dit "mais non, malheureuse, en Orient, le coton, c'est du tissu à serpillères, on ne le ramène pas en Europe pour faire des jolies robes". Et puis dernièrement, on m'a dit que c'était un matériau précieux rapporté des croisades par les personnages aisés. Du coup, je sais plus trop quoi penser... Peut-être que ça dépend des périodes ?
Pour la couleur du tissu, tu peux toujours le teindre, ça, ce n'est pas un problème.
Quant au fil, je pense que c'est laissé à l'appréciation du couturier ou de la personne qui va porter le vêtement ?
- jehan2
- Messages : 1620
- Enregistré le : dim. déc. 12, 2004 12:00 am
- Localisation : Les clayes sous bios
Oui tu peux utiliser de la futaine (melange oton /lin) pour confectionner tes vetements.
La futaine a été utilisé trés tot dans en Europe occidentale, l'exumation du Comte de toulouse (XIème s.) a revelé qu'il portait une chainse de Futaine par exemple.
Pour info, le coton lui même n'est pas inconnu de l'homme medieval occidental, mais sa trop faible valeur ajouté a fait que les marchands italiens l'on boudé longtemps au profit d'étoffes plus lucratives comme la soie.
Julien
Tu es de Pau ? tu reconstitue quel siecle et quel type de personnage ?
La futaine a été utilisé trés tot dans en Europe occidentale, l'exumation du Comte de toulouse (XIème s.) a revelé qu'il portait une chainse de Futaine par exemple.
Pour info, le coton lui même n'est pas inconnu de l'homme medieval occidental, mais sa trop faible valeur ajouté a fait que les marchands italiens l'on boudé longtemps au profit d'étoffes plus lucratives comme la soie.
Julien
Tu es de Pau ? tu reconstitue quel siecle et quel type de personnage ?
<img src="http://img212.imageshack.us/img212/1926 ... iefzf7.gif" alt="http://img212.imageshack.us/img212/1926 ... iefzf7.gif" style="border:0" /><img src="http://img209.imageshack.us/img209/127/2151ut.jpg" alt="http://img209.imageshack.us/img209/127/2151ut.jpg" style="border:0" />
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un peut d'histoire... c'est long, mais ça ouvre des pistes...

Coton connu comme agneau de Tartarie au XIII siècle De nombreux mots se rattachant au coton ou aux produits du coton indiquent l'origine orientale, indienne du coton : indienne (toile de coton légère colorée par impression), Madras (du nom d'une ville bien connue, étoffe à chaîne de soie et à trame de coton, de couleurs vives et dont on fait des écharpes, fichus...), mousseline (littéralement tissu de Mossoul, ville de l'actuel Irak), calicot (de Calicut, ville connue sous le nom de Kozikhode aujourd'hui, et qui fut la première escale de Vasco de Gama en Inde en 1498) et enfin Chintz (toile de coton imprimé pour l'ameublement) est un mot hindi.
L'histoire du coton est assurément ancienne. Le premier mot pour désigner clairement le coton est celui du vieux Sanskrit "Karpasi". Ce mot donnera plus tard Kapas ou "Karpas", aujourd'hui, c'est ce mot qui est resté pour désigner le coton-graine en Inde et en Indonésie. C'est ce mot que l'on verrait évoquer dans la version en Hébreu de la Bible, dans le Livre d'Ester, vers 1500 ans av. J.C.
Pendant longtemps, les plus vieilles traces de coton travaillé par l'homme ont été trouvées en Inde. Des restes de tissus en coton ont été exhumés dans la Vallée de l'Indus, à Mohenjo-Daro et remontant à 3200 ans avant J.C. et qui auraient été tissés à partir de fibre du Gossypium arboreum. Même si on évoque aussi l'ancienneté du coton en Chine, l'origine indienne du coton dans ce pays est admise si on se réfère aux auteurs chinois eux-mêmes.
Mais depuis, on pense que les restes de tissus datant de 5800 ans avant J.C. et trouvés dans une grotte près de Tehuacan au Mexique sont aussi en coton. L'existence du coton sur le continent américain avant l'arrivée des Conquistadores est désormais acquise. On dit même que c'est en voyant les habitants des Îles Barbades portant des vêtements en coton que Christophe Colomb se convainquit qu'il avait bien atteint les côtes indiennes, le coton étant à l'époque associé à l'Inde comme les épices. Il est posé l'énigme de la double origine du coton.
Il n'y a cependant pas d'incertitude quant au fait que c'est l'Inde qui a été le lieu de diffusion du coton des derniers millénaires, c'est à partir de ce pays que le coton a progressé vers le Moyen orient, puis l'Égypte, puis en même temps vers l'Afrique et l'Europe.
L'appellation par le monde méditerranéen puis par l'Occident (Cotonum en latin médiéval, Algodon en espagnol, Algodão en portugais, Kattun en allemand, Kotnja en russe, Kutnie en roumain.) provient du nom donné par les Arabes "El Kutn". La connaissance du coton en Europe remonte cependant plus de quatre siècles avant J.C.. Hérodote parlait des "arbres portant de la laine" (en Inde, on cultive encore aujourd'hui, de manière marginale il est vrai, des cotonniers pérennes de port arbustif évident.) dont la fibre surpassait celle du mouton par la qualité et la beauté. Néarque, amiral de la flotte d'Alexandre le Grand mentionne les habits en coton qu'il voyait en Inde vers l'an -300. Alexandre Le Grand aurait même ramené de sa campagne des cultivateurs et des tisserands de coton.
Jusqu'au XIIIème siècle, les européens n'avaient encore qu'une idée très inexacte sur le coton et la manière dont il est produit, comme l'atteste une légende qui avait cours alors assimilant le coton à un produit mi-animal et mi-végétal.
Le coton en Europe jusqu'à la fin du Moyen âge
Le coton n'occupe une place majeure dans l'histoire des textiles en Europe que depuis le XVIIe siècle avec l'arrivée des cotonnades indiennes. Aux époques précédentes, durant l'Antiquité et le Moyen âge, les fibres textiles les plus couramment utilisées sont de type animal (laine, et plus rarement soie) et végétal (lin, chanvre, ortie, genêt...).
Si, pour les industries de la laine, de la soie et du lin, nous disposons d'une grande documentation, il n'en est pas de même pour l'industrie du coton, et l'archéologie ne peut guère compenser le manque de sources écrites. Toutefois, de récentes fouilles en Iraq ont mis au jour des restes de toiles de coton des premiers siècles de notre ère.
Le coton est arrivé à Rome au IIe siècle av. J.-C., rapporté d'Orient par les armées. Les femmes de l'élite romaine apprécient les robes de coton et de soie en provenance d'Orient.
Après cette période, les migrations barbares et la mise en place du système féodal entraînent l'Europe dans un isolement économique.
Quelques siècles plus tard, les contacts avec les Arabes et les premières croisades permettent à l'Europe de redécouvrir les produits orientaux, dont le coton fait partie.
Au XIIe siècle, l'emploi du coton commence à se développer en Europe. Un siècle plus tard, à Venise, centre de commerce très important, des ateliers travaillent le coton en provenance de Damas et produisent les premières étoffes en coton. Celles-ci, appelées futaines, faites entièrement de coton ou mélangées à de la laine ou à du lin, sont utilisées pour confectionner des pourpoints et des vêtements de dessous et de dessus.
Une découverte faite à Toulouse en 1989 permet d'illustrer cet usage. Des fragments d'une tunique en futaine attribuée au comte de Toulouse, Guillem III de Taillefer, ont été retrouvés dans un sarcophage.
Le coton non filé est également employé à l'époque médiévale comme bourre. Celle-ci est insérée entre les épaisseurs de toile doublant les pourpoints. Le plus ancien exemple connu date, selon le carbone 14, de 1160-1270. Il s'agit de fragments de vêtement matelassé correspondant à une manche et un gant, qui sont conservés à l'église de Bussy-Saint-Martin en tant que relique du manteau de saint Martin.
Après les premières implantations à Venise, la fabrication de tissus en coton se répand ensuite dans le reste de l'Italie du Nord, puis dans le sud de l'Allemagne.
En Suisse, le coton est tissé à Bâle dès 1380 et à Zurich, dès le début du XVe siècle.
À la fin du Moyen âge, le coton est fréquemment employé pour la confection de futaines dans une grande partie de l'Europe. Cependant, l'histoire du coton en Europe ne débute vraiment qu'avec la création des compagnies européennes de commerce en Inde, qui se lancent dans l'importation des cotonnades indiennes à grande échelle.


Coton connu comme agneau de Tartarie au XIII siècle De nombreux mots se rattachant au coton ou aux produits du coton indiquent l'origine orientale, indienne du coton : indienne (toile de coton légère colorée par impression), Madras (du nom d'une ville bien connue, étoffe à chaîne de soie et à trame de coton, de couleurs vives et dont on fait des écharpes, fichus...), mousseline (littéralement tissu de Mossoul, ville de l'actuel Irak), calicot (de Calicut, ville connue sous le nom de Kozikhode aujourd'hui, et qui fut la première escale de Vasco de Gama en Inde en 1498) et enfin Chintz (toile de coton imprimé pour l'ameublement) est un mot hindi.
L'histoire du coton est assurément ancienne. Le premier mot pour désigner clairement le coton est celui du vieux Sanskrit "Karpasi". Ce mot donnera plus tard Kapas ou "Karpas", aujourd'hui, c'est ce mot qui est resté pour désigner le coton-graine en Inde et en Indonésie. C'est ce mot que l'on verrait évoquer dans la version en Hébreu de la Bible, dans le Livre d'Ester, vers 1500 ans av. J.C.
Pendant longtemps, les plus vieilles traces de coton travaillé par l'homme ont été trouvées en Inde. Des restes de tissus en coton ont été exhumés dans la Vallée de l'Indus, à Mohenjo-Daro et remontant à 3200 ans avant J.C. et qui auraient été tissés à partir de fibre du Gossypium arboreum. Même si on évoque aussi l'ancienneté du coton en Chine, l'origine indienne du coton dans ce pays est admise si on se réfère aux auteurs chinois eux-mêmes.
Mais depuis, on pense que les restes de tissus datant de 5800 ans avant J.C. et trouvés dans une grotte près de Tehuacan au Mexique sont aussi en coton. L'existence du coton sur le continent américain avant l'arrivée des Conquistadores est désormais acquise. On dit même que c'est en voyant les habitants des Îles Barbades portant des vêtements en coton que Christophe Colomb se convainquit qu'il avait bien atteint les côtes indiennes, le coton étant à l'époque associé à l'Inde comme les épices. Il est posé l'énigme de la double origine du coton.
Il n'y a cependant pas d'incertitude quant au fait que c'est l'Inde qui a été le lieu de diffusion du coton des derniers millénaires, c'est à partir de ce pays que le coton a progressé vers le Moyen orient, puis l'Égypte, puis en même temps vers l'Afrique et l'Europe.
L'appellation par le monde méditerranéen puis par l'Occident (Cotonum en latin médiéval, Algodon en espagnol, Algodão en portugais, Kattun en allemand, Kotnja en russe, Kutnie en roumain.) provient du nom donné par les Arabes "El Kutn". La connaissance du coton en Europe remonte cependant plus de quatre siècles avant J.C.. Hérodote parlait des "arbres portant de la laine" (en Inde, on cultive encore aujourd'hui, de manière marginale il est vrai, des cotonniers pérennes de port arbustif évident.) dont la fibre surpassait celle du mouton par la qualité et la beauté. Néarque, amiral de la flotte d'Alexandre le Grand mentionne les habits en coton qu'il voyait en Inde vers l'an -300. Alexandre Le Grand aurait même ramené de sa campagne des cultivateurs et des tisserands de coton.
Jusqu'au XIIIème siècle, les européens n'avaient encore qu'une idée très inexacte sur le coton et la manière dont il est produit, comme l'atteste une légende qui avait cours alors assimilant le coton à un produit mi-animal et mi-végétal.
Le coton en Europe jusqu'à la fin du Moyen âge
Le coton n'occupe une place majeure dans l'histoire des textiles en Europe que depuis le XVIIe siècle avec l'arrivée des cotonnades indiennes. Aux époques précédentes, durant l'Antiquité et le Moyen âge, les fibres textiles les plus couramment utilisées sont de type animal (laine, et plus rarement soie) et végétal (lin, chanvre, ortie, genêt...).
Si, pour les industries de la laine, de la soie et du lin, nous disposons d'une grande documentation, il n'en est pas de même pour l'industrie du coton, et l'archéologie ne peut guère compenser le manque de sources écrites. Toutefois, de récentes fouilles en Iraq ont mis au jour des restes de toiles de coton des premiers siècles de notre ère.
Le coton est arrivé à Rome au IIe siècle av. J.-C., rapporté d'Orient par les armées. Les femmes de l'élite romaine apprécient les robes de coton et de soie en provenance d'Orient.
Après cette période, les migrations barbares et la mise en place du système féodal entraînent l'Europe dans un isolement économique.
Quelques siècles plus tard, les contacts avec les Arabes et les premières croisades permettent à l'Europe de redécouvrir les produits orientaux, dont le coton fait partie.
Au XIIe siècle, l'emploi du coton commence à se développer en Europe. Un siècle plus tard, à Venise, centre de commerce très important, des ateliers travaillent le coton en provenance de Damas et produisent les premières étoffes en coton. Celles-ci, appelées futaines, faites entièrement de coton ou mélangées à de la laine ou à du lin, sont utilisées pour confectionner des pourpoints et des vêtements de dessous et de dessus.
Une découverte faite à Toulouse en 1989 permet d'illustrer cet usage. Des fragments d'une tunique en futaine attribuée au comte de Toulouse, Guillem III de Taillefer, ont été retrouvés dans un sarcophage.
Le coton non filé est également employé à l'époque médiévale comme bourre. Celle-ci est insérée entre les épaisseurs de toile doublant les pourpoints. Le plus ancien exemple connu date, selon le carbone 14, de 1160-1270. Il s'agit de fragments de vêtement matelassé correspondant à une manche et un gant, qui sont conservés à l'église de Bussy-Saint-Martin en tant que relique du manteau de saint Martin.
Après les premières implantations à Venise, la fabrication de tissus en coton se répand ensuite dans le reste de l'Italie du Nord, puis dans le sud de l'Allemagne.
En Suisse, le coton est tissé à Bâle dès 1380 et à Zurich, dès le début du XVe siècle.
À la fin du Moyen âge, le coton est fréquemment employé pour la confection de futaines dans une grande partie de l'Europe. Cependant, l'histoire du coton en Europe ne débute vraiment qu'avec la création des compagnies européennes de commerce en Inde, qui se lancent dans l'importation des cotonnades indiennes à grande échelle.
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Merci à vous tous (et toutes)
Je savais à la lecture des pages de ce forum, dans tous les sujets que j'ai consultés, que je ne pouvais m'attendre qu'à une réponse complête.
Le souci du détail et le respect historique qui vous animent forcent l'admiration.
Complètement néophyte dans ce domaine (le Moyen-âge)je suis encore indécis sur la période pour laquelle je constitue un costume. C'est précisement un archer que je souhaite incarner tout simplement parce qu'ancien chasseur à l'arc (j'ai raccroché pour cause de rétrécissement d'espaces chassables...etc.etc) je suis toujours passionné par cette arme et cette discipline. J'ai commencé la fabrication d'un grand arc en IF et mis en chantier une forge pour la fabrication de pointes de flêches et ustensiles divers.
Bien que dans ma région pourtant pourvue en cités médievale et historiquement riche; Orthez, Montaner, Lescar Salies de Béarn... il n'existe pas de troupes reconstitutives de cette période (a ma connaissance car je n'en ai pas trouvé qui aient le sérieux de ce que je constate sur le forum des GMA)et malgré des obligations professionnelles et familiales qui ne me laissent que peux de temps, me constituer un costume et un équipement pouvant me permettre une présence honorable dans une reconstitution historique en évitant grace à vos connaissances l'anachronisme ou l'erreur qui tue.
Un grand bravo pour la passion qui vous anime et l'enthousiasme avec lequel vous savez la partager, cela ne peut faire que des émules.
A bientôt je souhaite.
Peio
Je savais à la lecture des pages de ce forum, dans tous les sujets que j'ai consultés, que je ne pouvais m'attendre qu'à une réponse complête.
Le souci du détail et le respect historique qui vous animent forcent l'admiration.
Complètement néophyte dans ce domaine (le Moyen-âge)je suis encore indécis sur la période pour laquelle je constitue un costume. C'est précisement un archer que je souhaite incarner tout simplement parce qu'ancien chasseur à l'arc (j'ai raccroché pour cause de rétrécissement d'espaces chassables...etc.etc) je suis toujours passionné par cette arme et cette discipline. J'ai commencé la fabrication d'un grand arc en IF et mis en chantier une forge pour la fabrication de pointes de flêches et ustensiles divers.
Bien que dans ma région pourtant pourvue en cités médievale et historiquement riche; Orthez, Montaner, Lescar Salies de Béarn... il n'existe pas de troupes reconstitutives de cette période (a ma connaissance car je n'en ai pas trouvé qui aient le sérieux de ce que je constate sur le forum des GMA)et malgré des obligations professionnelles et familiales qui ne me laissent que peux de temps, me constituer un costume et un équipement pouvant me permettre une présence honorable dans une reconstitution historique en évitant grace à vos connaissances l'anachronisme ou l'erreur qui tue.
Un grand bravo pour la passion qui vous anime et l'enthousiasme avec lequel vous savez la partager, cela ne peut faire que des émules.
A bientôt je souhaite.

Peio
On peut expliquer n'importe quoi en chinois à quelqu'un qui ne parle pas le chinois
ca fait plaisir!
dans ce cas on ne peut que t'encourager et t'inviter a definir une periode dans laquelle tu voudrai te fondre, afin d'eviter des erreurs qui te degouteraient et de l'argent. regarde ce qui te plait le plus, ce vers quoi tu te sens le plus proche, un evenement, 'n'importe quoi,et ca t'aidera surement a trouver ta periode!
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