Je confirmeSigeferth a dit : ou à Oriabel pour des docs sur le XIIe provençal), et je le fais toujours avec plaisir.
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Et ne tombons pas à bras raccourci sur un homme "honnête"
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Modérateur : L'équipe des gentils modos
Je confirmeSigeferth a dit : ou à Oriabel pour des docs sur le XIIe provençal), et je le fais toujours avec plaisir.
C'est en cours pour la Provence. Un type de mon labo travaille là-dessus, et spécialement sur les accesoires non-ferreux du costume.Réchignac a dit :Mais moi j'attends avant tout une synthèse avec des spécificités régionales. Si ça tenait qu'à moi je l'aurais bien fait mais je n'ai absolument pas le temps.
Ca tombe bien : il n'est pas intervenu dans ce fil.yrwanel a dit : Je précise que ceci ne vise en rien Hengist!
J'aurai une remarque. Ce ne sont pas les archéo le plus souvent qui "grattent" les objets, mais les restaurateurs. De plus, pour ce qui a été conservé dans le cas du château de la Madeleine, bien que le textil est détecté lors de la restauration (où le cuir), faut voir dans quel état... La plupart du temps, il reste quelques centaines de microns ou voir quelques millimètres. On ne peut pas toujours en déduire le type de tissu. Ceci dit, à Chevreuse les textiles associés à d'autres objets a été étudié par C. Moulherat. (dont, chut, je ne vous ai rien dit, un paumeau de selle en tôle de cuivreux ouvragé avec du chanvre entre le bois et le métal et une aumonière fait avec des tôles de cuivreux, et un revêtement lin + soie fin XVeme).yrwanel a dit :
SI, avec du pot, les archéo ne grattent pas les débris textiles, de là à fourguer les infos ... y a de la marge!
Sont pas foutu de faire la différence entre chaine et trame, ni S et Z... (rêvés pas d'une étude pollinique qu'on sache avec quoi le péon pouvait teindre ses sapes!)
C'est pareil dans tous les domaines de hobbies hyperpointus : en entomologie, en aquariohilie/ichthyophilie pour ne citer que cela (je passe sur les Orchidées, c'est valable aussi), les amateurs qui se donnent du temps en savent parfois aussi long, au bout d'un moment que les chercheurs payés !! (sinon plus ; surtout que c'est comem chez les toubibs : il y a les premiers de promo mais aussi les derniers de promo...)). Ce qui fait enrager les "chercheurs payés" dont une partie s'ingénie à dénigrer le travail réalisé par les amateurs (ouh !les salauds!) et leur cache tout ce qu'ils peuvent et une l'autre partie, plus maligne, qui s'associe et joue la bijection : tu m'informes, je t'informe ; tu m'apportes des photos prises au bout du monde, je t'aide pour les identifications, tu me donnes des rejetons nés chez toi pour les étudier, je te file des conclusions (et même, comme c'est la troisième bestiole que tu m'aides à décrire, son espèce portera ton nom... la classevuillem a dit : il est probable que les reconstituteurs sérieux connaissent mieux ces typologies que les archéologues. Pourquoi ? Probablement par manque de temps, de moyens pour financer des thèse, etc...
Encore faut-il qu'on dispose du temps et des finances pour une telle étude. Et entre investir de l'argent et de l'énergie dans quelque chose, on aura curieusement plus tendance à se pencher sur les structures bâties et/ou détruites, ou sur le mobilier céramique ou métallique, que sur les 3mm de textile collés à une applique oxydée, si intéressant ces fragments soient-ils.yrwanel a dit : Accessoirement: que l'on se penche un poil plus, MEME si il n'y a que 1mm2 ce sur QUOI (textile OU cuir) se trouvait la déco ou la boucle de ceinture, on en connaîtrait plus sur la proportion entre "ceinture de cuir" et "ceinture textile"...